Challenge "Histoires" - 4

Challenge "Histoire"

Gay Blog Pip Chaud

  

Pour commencer ce billet quotidien, j'aimerais remercier tous les amis du blog qui m'ont envoyé un message de soutien. Cette semaine de 'Challenge' semble aussi être celle des records et j'ai l'impression que nous avons battu aujourd'hui celui du nombre de commentaires postés, avec en plus de nombreux messages envoyés directement dans ma boîte mail. Je vous en remercie chaleureusement avec cette petite vidéo transmise aujourd'hui par Polo : 18 minutes de pur bonheur ! J'espère qu'elle vous plaira autant qu'elle m'a excitée. Et oui, Polo, cette vidéo à bien fait couler le jus ici.

Place maintenant au troisième candidat du Challenge "Histoires" :

Candidat 4

Tout ceci est arrivé à Noël il y a trois ans. Je suis architecte et je travail sur un peu toute la France. Je suis marié et j’ai un enfant. Je me trouvais dans une petite maison proche de Monaco qui me sers de pied à terre et de vitrine pour montrer mon travail à mes clients de la côte. Mon beau frère qui travail dans un domaine commercial avait un client à voir sur Nice de toute urgence et moi je devait rendre un projet le 24 décembre dans l’après midi a une cliente super chiante qui voulait faire un cadeau à son fil en lui offrant une maison de vacance sur la côte. Nous avions convenu de nous retrouver et passer le réveillon ensemble puis de rejoindre nos épouses le lendemain matin car nous n’avions pas trouvé d’avion dans la soirée. Un vol très tôt le matin nous permettait d’arriver avant que les enfants n’ouvrent leurs cadeaux.
Je passais prendre Sylvain vers 18h à Nice pour l’emmener directement à la maison. Comme il y avait pas mal de monde sur la route, le trajet fut très long. Nous étions tous les deux plutôt fatigués par notre journée éprouvante. J’avais commandé un menu chez un traiteur du coin qui me l’avait livré le matin même, il ne restait plus qu’a réchauffé. Malgré cela nous avions tous les deux la flemme de simplement mettre les plats dans le micro-onde et puis surtout nous étions un peu abattu de savoir nos épouses en enfants loin de nous. Nous décidâmes de manger rapidement et de nous mettre au lit devant un DVD.
Je fis visiter la maison à Sylvain qui ne la connaissant pas. C’est une maison microscopique accrochée à la falaise sur trois niveaux de 20 m². Au rez-de-chaussée se trouve un séjour cuisine, au dessus un salon bureau et au dernier une chambre avec salle de bain. J’ai rénové cette maison dans le but de la montrée à mes clients comme un pied à terre. Elle n’est donc prévue que pour une personne voir un couple. Il n’y a qu’un lit de 2m et aucune intimité. Le lit se trouve face à une grande baie vitrée donnant sur la mer. A droite derrière un mur en miroir la salle de bain et à gauche derrière un autre miroir le dressing. Pour des raisons de délais sur les miroirs de grande taille j’ai du utiliser des miroirs sans teint double face que le miroitier n’arrivait pas à vendre et pour cause. Le miroir devient transparent du coté ou la lumière est éteinte. Donc de la salle de bain le miroir devient transparent si la lumière de la chambre et allumée et pas celle de la salle de bain. C’est pas très pratique mais comme les visites ce font toujours dans la journée personne ne se rend compte de rien et de plus je suis toujours seul quand je viens dans cette maison.
Sylvain monta ses bagages après notre dîner rapide et se dirigea vers la salle de bain en me chargeant de choisir un film. Il ne savait pas que le miroir était transparent. Mon beau frère est d’origine asiatique avec un détour pas l’Afrique noire. Il est née à la Guadeloupe et y a grandi. Je me suis toujours demandé si il avait hérité de la petite bite des chinois ou du gourdin des blacks. Je tenais là une occasion de le vérifier et même si j’avais un peu honte je baissais les lumières de la chambre dès que la douche coula.
Sylvain était en caleçon et il retirait sa chemise. Il est plutôt grand et assez massif sans être gras. Son torse est large et imberbe et sa peau est cuivré été comme hiver. Il est très typé asiat avec une bouche de black. Il retira son tee-shirt et fit glisser son caleçon mais il était de dos si bien que je ne voyais pas sa queue. La cabine de douche est séparée de la chambre par le miroir sur une de ses faces. Autant vous dire que je me matte sous toutes les coutures à chaque fois que je me lave. Je m’approchais du miroir devenu une simple vitre pour moi. Je me trouvais à moins de cinquante cm de sylvain sans que celui-ci ne le sache. J’admirais ses fesses rebondies par la pratique de l’équitation mais j’aurais bien voulu voir son chibre histoire de me faire une idée plus précise.
Je retournais vers le lit et lui dit de tourner le robinet qui commande les jets massant car il sont disposés de tel façon que l’on a envie de tourner pour être aspergé de tous les cotés. Je m’approchais de lui et le vis mettre les jets en marche et commencer à tourner vers moi. Sa bite m’apparut enfin. Il avait les poils du pubis tondu assez court ce qui me surpris. Je pensais qu’il n’y avait que les acteurs de pornos qui se les tondaient. Sa bite était plutôt massive et très sombre. La peau de ses couilles était beaucoup plus foncée que celle du reste de son corps ce qui paraissait étrange. Malgré ça il était vraiment très bien fait.
Pour se savonner sans que les jets le mouille il s’approcha du miroir, regarda son visage et baissa les yeux vers sa bite. Il fit mousser le gel douche dans ses poils pubien et commença à se frotter tout en se regardant. J’étais à quelques centimètres de lui et me baissais au niveau de son sexe quand il commença à le laver. Il passa ses mains sur ses couilles et souleva sont sexe en le frottant. Puis il pris sa bite dans sa main et fit glisser son prépuce pour laver son gland. Il se frotta comme s’il se branlait. Cette douche avec miroir m’a toujours donnée envie de me branler. J’espérais un peu que Sylvain allait avoir la même idée.
Sa bite était propre depuis un bon moment mais il continuait de l’astiquer. La mousse ne me permettait de voir que son gland et ses couilles mais il me semblait qu’il commençait à bander. Il recula dans les jets pour se rincer et sa bite m’apparut beaucoup plus grosse qu’avant. Il continuait de ce regarder tout en se touchant. Il prit du shampoing et se lava les cheveux. Sa queue se dressait un peu mais il ne bandait pas complètement. C’était déjà un joli morceau bien trapu avec des veines saillantes. Une belle queue de black et pas un cure dent de chinois. Il se rinça les cheveux dans les jets et pressa sa bite entre ses mains pour la faire débander. Je pense que l’absence de porte à la salle de bain et la porte transparente de la cabine de douche ne devait pas le rassurer.
Je montais la lumière de la chambre dès qu’il coupa l’eau et choisi rapidement un film au hasard. J’ouvrai le coffre qui contenait la télé et mis le DVD en route. C’était un film d’action quelconque plutôt pour les ados mais je sais que Sylvain malgré ses trente quatre ans aime bien se genre de truc et puis moi aussi. Quand il sorti de la salle de bain dans un peignoir en éponge je mis le film en route et lui dit de commencer sans moi. Je lui dis de ne pas éteindre la lumière de la chambre à cause du miroir sans teint. Je vis un peu d’étonnement dans ses yeux et il me posa tout un tas de questions sur ce miroir. Il devait se féliciter de ne pas s’être branlé sous la douche et ses joues étaient bien roses. Je fis semblant de ne pas remarquer sa gène.
Je me rendais dans la salle de bain, me déshabillais et fis couler l’eau sans me mettre dans la douche pour pouvoir voir si il allait faire comme moi. Je vis du coin de l’œil la raie de lumière provenant de la chambre par l’ouverture de la salle de bain disparaître. J’entrais dans la douche en sachant que sylvain me regardais. Je restais donc de dos pour qu’il ne me voit pas. Je me savonnais mais je me rendis compte que j’avais le choix entre ne pas me laver la raie des fesses, ce qui m’aurait fais passé pour un cochon, ou me la laver en sachant que mon beau frère me regardait en train de me frotter le cul. Je décidais de me tourner face au miroir pour me savonner les fesses de façon plus discrète. Je pris plein de mousse pour cacher mon sexe et me tournais. Je ne me regardais pas dans le miroir car j’avais l’impression que j’aurais vu Sylvain en face de moi.
Tout en me lavant je me dis que Sylvain était peut être aussi curieux que moi et que j’aurais mauvaise grâce de ne pas jouer le jeu. J’entrepris donc de me laver la bite en détail tout en prenant bien garde de ne pas choper la trique. Je tournais sous les jet pour me rincer en me frottant avec un gan de crin. Et je fini par des jets d’eau très chaude.
Je sortis de la salle de bain avec une serviette autour de la taille car j’avais trop chaud pour mettre un peignoir. Sylvain était assis dans le lit avec des oreillers pour caller son dos. Je fermais le volet roulant de la baie et je baissais l’intensité de la lumière. Je pri un un caleçon long en cotton dans le dressing et me changeais puis en proposait un à Sylvain pour dormir.
J’allais m’installer a ses cotés et lui demandais si le film était bien. Il dit qu’il était très instructif (je pense qu’il parlait de la douche mais sur le moment je n’ai pas fais attention). Sylvain avait son peignoir ouvert sur son torse il était calme et détendu chose rare pour un commercial. Ses cheveux très noirs avaient séchés un peu dans tous les sens et étaient très brillants.
Je ne tardais pas à m’endormir devant le film. Je fus réveillé par un mouvement dans le lit. Sylvain se levait pour éteindre la télé. Son peignoir était ouvert et je vis son sexe de profil. Il le quitta avec précaution pour ne pas faire de bruit et enfila le caleçon que je lui avais proposé. Il vint se coucher mais se retourna plusieurs fois de suite. Au bout d’un moment je lui demandais s’il n’arrivait pas à dormir. Il me répondit que non. Je sentis qu’il allait dire autre chose mais il se reteint au dernier moment. Je dis « et » dans l’espoir de l’encourager. Il me répondis « j’ai éteint la lumière tout à leur ». Je pris un air naturel et lui répondis comme si ça n’avait aucune importance « moi aussi ».
« J’en étais sur. Je le sentais »
« T’étais bien en forme en tous cas »
« Ouais. T’as raison. Dire que j’ai failli me branler. T’aurais pas regarder quand même ? »
« Bien sur que si. T’es le premier asiat que je vois à poil alors t’aurais aussi pu être le premier que je vois se faire une gâterie »
« En tous cas je sais pas comment t’as fait pour pas choper la trique alors que tu te doutait que je te regardais. »
« Pourquoi j’aurais choper la trique. Tu l’a eu toi en me regardant ? »
« Ouais. Et je l’ai en en parlant »
« C’est pas vrai »
« Mate »
Il souleva les draps et sa bite faisait une belle bosse sous sont caleçon. Il passa sa main dessus et se caressa en la replaçant de côte. Le seul mot qui me vin fut « putain ». Il hésita et. enleva son caleçon.
« Comme ça t’auras vu un asiat à poil avec la trique ou presque »
Sa queue reposait sur le coté tourné vers moi. Son gland rose était à demi recouvert par son prépuce. Je gardais les yeux rivés sur sa bite ne sachant que dire.
« Tu sais Fred, dans l’île ou je suis né quand on a envie de quelque chose on le prend même si il s’agit d’un garçon. »
Je me sentais tout à coup complètement dépassé par la situation. Je ne savais pas quoi faire ni dire. En même temps je me sentais très excité par le fait de braver un interdit.
Sylvain me dit « Je suis sure que tu en a envie sinon tu ne m’aurais pas regardé prendre ma douche. Et puis on est des adultes. Si tu en a envie laisse toi aller »
« Euh je sais pas là, je sais pas trop quoi dire »
« D’abord commence par enlever ton caleçon que je vois un mec poilu sans rien »
J’enlevais mon caleçon avec hésitation. Ma bite commençait à bander. Sylvain la montra du doigt et dis :
« Elle, elle sait ce qu’elle veut. Laisse toi faire. »
Il se rapprocha de moi mais je restais dans mon coin sans bouger ne sachant que faire. Je n’avais jamais envisagé une relation homosexuel et certainement pas avec mon beau frère.
« Fred, c’est rien. Tu sait quand j’étais gosse on a tous essayé entre garçon avant de trouver une fille qui veuille bien de nous. Ca me rappellera mon adolescence et puis ça n’engage à rien. Laisse toi aller à ce dont tu a envie. Vous les métros vous avez trop d’idées préconçues dans la tête »
Sylvain s’approcha de moi et posa sa main sur ma joue faisant tourner mon visage vers le sien. Il posa des petits baissés sur mes lèvres. Il était d’une très grande douceur. Moi j’étais totalement crispé d’un côté j’en avait envie et d’un autre mon éducation chrétienne me disait que c’était mal. Et puis je me surpris à lui rendre ses baisers puis à passer mon bras autour des ses épaules. Je l’attirais vers moi pour le serrer dans mes bras. Il se recula un peu et me dis « Attention je ne suis pas une fille je suis un garçon tu dois faire avec douceur ». Alors je me redressais et partais à la recherche de ses baisers sans vouloir l’attirer à moi. Il me caressait doucement les épaules et le dos. Il se mit assis en tailleur et me dis « Assied toi là » en me montrant l’espace entre ses jambes croisées. Son sexe était presque dressé maintenant. Je passais mes jambes autour de sa taille et il serra ses bras autour de moi. Nos bites se touchaient et ce contact nous fit tous les deux bander de plus belle. Sylvain me caressait le dos et je faisais de même tout en l’embrassant. C’était d’une très grande douceur et je me surpris à penser que je ferais bien ça avec ma femme. Je compris comme ça à quoi servaient ces relations entre jeunes garçons. Cela faisait d’eux des amants attentionnés.
Tout en m’embrassant Sylvain pris nos deux sexes dans sa main et se mit à nous branler. Le contact de sa bite chaude et dure contre la mienne était très agréable. Je redoublais d’ardeur dans mes baisés tout en faisant attention à ne pas trop le brusquer.
Je voulais toucher sa tige et je lui pris nos sexes des mains. J’entrepris de nous branler. Ma main ne faisait pas le tour de nos deux bites. Je faisais coulisser la peau fine de nos prépuces découvrant nos glands et les faisant se toucher. Sylvain me fit basculer en arrière tout doucement et s’allongea sur moi. Je sentais le poids de son corps bien supérieur à celui de ma femme. Il continuait de m’embrasser en jouant de plus en plus avec sa langue. Il glissa sur le coté et et dirigea sa main vers mon ventre en me titillant les tétons au passage. Il caressa mes couilles et me branla doucement. Puis il me fit allonger sur le coté et se mit tète bêche. Son visage était à auteur de mon sexe et son sexe effleurait mon visage. Il me regarda et senti que j’avais quelques réticences à le sucer. Il me dit « Quand j’aurais pris la tienne dans ma bouche tu voudras la mienne ». Il recalotta ma queue et en embrassa doucement le bout. J’eu immédiatement envie de faire de même avec la sienne. Il ne bandait pas à fond et son sexe était un peu souple. Je le pris dans ma main et l’examinais tout en le branlant. Je lui léchais les couilles les gobant toutes les deux et les faisant rouler sous ma langue. Ma bouche était presque entièrement pleine. Je léchais le sillon sur ses bourses tout en tenant son sexe dans ma main. Je fis courir ma langue le long de sa queue et la glissait entre le prépuce et le gland dégageant celui-ci. Il avait un goût très doux qui me donna encore plus envie de le sucer. Je pris sa tige dans la bouche et me mis à le sucer avec beaucoup de plaisir. Sylvain me pétrissait les fesses et pompait ma queue nos ventres se touchait presque. J’essayais d’avaler toute sa bite mais elle était trop longue. Je sentais le plaisir venir et je ne voulais pas jouir dans la bouche de Sylvain. Quand je fis mine de me retirer Sylvain arrêta de me sucer et passa un bras derrière mes fesses faisant revenir sa mains entre mes jambes me caressant les couilles par derrière puis il fit glisser sa main entre mes jambes puis entre mes fesses. Il caressa mon anus avec un doigt enduit de salive qu’il enfonça tout doucement dans mon cul. La sensation était tout à fait agréable. Il me titilla encore un peu le cul puis changea de position. Il vient s’allonger sur moi et releva mes jambes. Je sentais mon cul bien ouvert. Je pris sa bite dans ma main et posais son gland sur mon anus. Il était chaud et dur sur mon cul. Sylvain poussa tout doucement. Il ajouta un peu de salive et poussa à nouveau. Je sentais mon cul s’ouvrir et sa tige entrer. Elle était chaude et dure. Quand ses couilles touchèrent mes fesses j’eu l’impression que mon ventre était plein. Il commença son va et vient. Il accélérait et j’attirais son visage vers le mien pour l’embrasser. Je n’avais pas mal bien au contraire. Alors qu’il me roulait une pelle, je malaxais ses fesses musclées. Je sentais sa grosse bite glisser dans mon cul et c’était vraiment très bon.
Je sentis qu’il allait jouir et l’encourageais à me pilonner le cul. Sa respiration se fit saccadée et il fini par gémir en jouissant. Je senti sa bite palpiter dans mon cul et le faite de l’avoir senti jouir me donna envie de le sodomiser. Je le laissais reprendre son souffle allongé sur moi. Il se redressa en m’embrassa goulûment.
Il se tourna dos à moi et ses mit à quatre patte le dos très cambré. Son cul était magnifique. Ses fesses rondes et musclées s’écartaient sur son petit anus. Il passa un peu de salive sur son cul et se caressa. Je m’approchai pour regarder ses couilles et sa bite à demi débandée qui pendait sous lui. Je crachait sur son anus et commençait à lui chauffer le cul. Bientôt je lui enfonçais un doigt. Il se redressa sur ses bras et me regardait par-dessus son épaule pendant que je le doigtais. Je lui mis un deuxième doigt en caressant son dos de ma main libre. Puis je lui mis un troisième doigt. Son cul était chaud et s’ouvrait de plus en plus. Je posais mon gland sur son petit cul et le fit glisser lentement. Je m’arrêtais quand mon gland était entièrement dans son cul pour le regarder. Sylvain se cambra un peu plus et recula pour que je l’encule plus profondément. Je l’attrapais par la taille et continuais de pousser. Je me mis à l’enculer l’entement faisant sortir ma bite complètement puis la rentrant à nouveau. Sylvain se redressa complètement et se plaqua contre moi. Je caressais son torse et embrassais sa nuque pendant que je le limais méthodiquement. Je pis sa bite presque molle dans ma main et la malaxait doucement. Sylvain me caressais les fesses et m’encourageait à le baiser plus vite. Je sentais la jouissance venir. Mon pubis tapait de plus en plus fort contre ses fesses et je fini par gicler dans son cul. La transpiration rendait nos corps glissant. Je restais plaqué contre lui la bite plante dans son cul. Je l’embrassait en reprenant mon souffle et caressais son ventre et son sexe.
Nous allâmes prendre une douche ensemble. Sylvain me lava avec une éponge naturelle. Et je fis de même pour lui en n’oubliant aucun détail. Il était aussi agréable de le laver que de se faire laver par lui. Nous nous embrassions sous la douche avec beaucoup de douceur.
Nous allâmes nous coucher. Quand le réveille sonna vers 5 heures du matin sylvain vint contre moi et me réveilla en suçotant mes tétons. J’attirais son visage vers le mien et l’embrassais à pleine bouche. Nos langues se mêlaient avidement. Je savais que des que nous aurions quitter le lit, tout cela serrait fini. Alors j’en profitait et caressais son corps tant que c’était possible.
Je me levais pour préparer le petit déjeuné Sylvain se dirigea nu vers la salle de bain et prit une douche rapide. Nous nous préparâmes en silence. Juste avant de sortir de la maison Sylvain m’attira dans ses bras et me dit « Je pense qu’on a eu raison de le faire pas toi ». Je lui répondait que oui et l’embrassait. Je fermais la maison et passais devant Sylvain pour ouvrir le portillon du jardin. Il me mit la main au cul un peu lestement. Je me retournais surpris. Il avait un sourire jusqu’au oreille et me dit « ton cadeau de noël ma fait très plaisir ». J’éclatais de rire et lui répondis que le sien aussi en lui mettant la main au paquet. Je sentis ses grosses couilles sous l’étoffe fine du pantalon.
Nous n’avons jamais remis ça mais depuis il s’arrange toujours pour m’aguicher un peu, soit il s’arrange pour effleurer ma bouche en me faisant la bise ou bien il me touche le cul ou se frotte un peu contre moi. L’été dernier, alors que nous étions en vacance en famille sur l’ile de malte, j’ai profité d’une baignade à la mer pour lui tripoter la queue sous l’eau. La mer était un peu agitée donc trouble, les femmes et les enfants bronzaient sur la plage et nous nous discutions en nageant. Il n’y avait pas grand monde dans l’eau. J’ai plonger, baissé son maillot de bain et je l’ai branlé vite fait avant de refaire surface comme si de rien n’était.

Et voici la suite de la vidéo des kazaks en provenance du site de nos amis italiens d'Interlacciati Italia.

 Mate et astique-toi

A suivre ...