Spécial branle & jute

 Salut, ami libertin

La semaine à thème 'Spécial Branle & Jute' se poursuit sur le blog avec aujourd'hui une pensé particulière pour les membres plus âgés de notre communauté. Je ne sais pas si les 'aînés' sont nombreux à fréquenter le blog mais j'aimerais qu'ils sachent que je pense à eux aussi, à tous ces Gays qui ont quitté le monde du travail et qui, sans conjoint, sans enfants et sans parents proches, se retrouvent bien isolés. Je pense plus spécialement à ceux qui ont des problèmes de santé ou qui se déplacent difficilement, à ceux aussi qui n'ont plus trop envie de sortir de chez eux parce qu'ils se sentent délaissés par les plus jeunes qui fréquentent les bars et autres lieux de dragues, à ceux qui en ont marre de sortir pour un plan sexe et de rentrer bredouille. Ce 'Spécial Branle & Jute' est aussi pour ces papys d'avant guerre qui ont la tige encore frétillante et pleine de sève, mais qui ne peuvent compter que sur la veuve poignet pour satisfaire leurs besoins sexuels.

Ami gay, bi ou hétéro sympa, je t'invite aujourd'hui à venir te branler et juter avec eux et pour eux au dessus de la bassine spéciale 'Branle & Jute' placée cette semaine dans le local du Spermathon. Je te rappelle notre objectif : atteindre les 2 litres (200 commentaires) de bon jus avant la fin de la semaine.

Le plan décrit dans la première histoire du jour, n'est pas du tout mon trip. Je ne suis absolument pas attiré par les plan SM, uro-scato ou de domination-soumission, mais il en faut pour tous les goût et comme ce blog se veut ouvert à tout le monde, je ne vois pas pourquoi je ne ferais pas un petit plaisir à ceux qui aiment ça.

Timide en rut
J'avais à peine 20 ans et pas encore beaucoup d'expérience point de vue sexe, à part quelques branlettes et deux ou trois pipes. Je m'amusais le plus souvent seul chez moi avec les moyens du bord. Je m'amusais à m'introduire des concombres et ensuite à les lécher, je me masturbais pour pouvoir récupérer mon foutre et me l'enduire sur tous le corps...
Un jour, en sortant de mon boulot, je passai devant une agence de voyage et  me laissai tenter. Deux minutes plus tard, j'avais un ticket de train pour Berlin...
J'avais trop souvent fantasmé sur les allemands. Personnellement, je n'étais pas mal du tout, blond et l'air très jeune.
Arrivé à destination, j'eu vite fait de repérer mon hôtel. Le drapeau gay flottait au dessus de l'entrée.
A peine arrivé dans ma chambre, j?entends que l'on frappe à la porte. Je m'empresse d'ouvrir et me voila face à un mec de plus ou moins 40 ans, assez bien de sa personne et tout à fait mon genre.
Il me demande dans un anglais approximatif d'où je viens et pour combien de temps j'étais là. Ensuite, il me prévient que le soir même il y aurait probablement un peut de bruit car il fêtait la promo d'un copain avec quelques invités dans sa chambre. En moins de 30 secondes, j'étais invité...
Le soir arrivé, je me présente et quelle n'est pas ma surprise de voir 12 mecs de 25 à 40 ans tous habillés en jeans style loubards et cuir. Ca puait le poppers et le joint...
Timide comme un fou, je n'ai même pas osé m'en aller. Ils m'ont proposé de quoi boire et fumer. Je me sentais comme en transe. A un moment, ayant un besoin urgent d?uriner, je me suis dirigé vers la salle de bain et j?y suis entré.
Bordel ! Trois mecs étaient occupés à pisser sur un quatrième dans la baignoire.
L?un d?eux me prend par le bras et me dit : "alors, le petit collégien, on vient se dévergonder à Berlin ?"
Ne sachant que dire, je ne pipe mots.
Un second s?approche de moi et me roule une pelle gigantesque que j'en ferme les yeux. Je sens que des mains parcourent mon corps et que mes vêtements se barrent. Lorsque j?ouvre les yeux, le mec qui était couché dans le baignoire se trouve planté devant moi. Sans hésiter, il commence à me pisser dessus. La sensation de son urine chaude sur mon corps est délicieuse. Les trois autres s'approprient mon corps et déjà l?un d?eux me suce. Mon visage se baisse vers le sexe qui se dresse devant moi et l'engloutit. Ensuite, mes souvenirs sont confus...
Je me rappelle qu?un loubard de plus ou moins 25 ans m'a violemment sodomisé et que le mec de 40 ans se faisait sucer par ma bouche. Je crois que tous les mecs se sont trouvés à un moment soit dans ma bouche soit dans mon cul. La piaule puait le sperme et le poppers. Un mec me crachait au visage et son copain me faisait un lavement avec une poire....Un troisième s'est enfoncé en moi et a commencé à me limer avec toute l'eau chaude dans mon cul... Ca coulait partout... Je me souvient encore du goût d'urine qui coulait dans ma bouche, des coups de queues des ces loubards qui me foutaient des baffes sur la gueule en m'insultant. Vers la fin de la nuit je me suis retrouvé avec un gode énorme dans le cul, pendant que je baisais un mec hyper canon et que d'autres jouissaient sur moi.
Le lendemain matin, je me suis réveillé en sueur et le sexe d'un mec encore enfoncé en moi.
Une nuit de folie...
Depuis lors, j'ai changé de sexualité et beaucoup d'amants me font l'honneur de leurs assauts...

Pour les papys auxquels je dédie la page d'aujourd'hui, voici la seconde histoire qui les replongera peut-être dans leurs souvenirs de jeunesse, à l'époque où ils découvraient avec leurs petits copains les délicieux plaisirs du sexe.

Premières expériences homosexuelles
Tout a commencé lorsque j?étais au pensionnat pour garçons. Je n'avais alors que treize ans. Nous attendions notre tour pour  prendre une douche et nous étions en slip, torse nu. En attendant que notre petit copain sorte de la douche - nous étions trois ou quatre à attendre - comme c'était long, il y en a un qui a sorti son sexe pour nous le montrer.
Il avait une petite bite avec peu de poils mais de belles couilles. Puis un autre a sorti  sa bite, plus grosse et plus longue. Ensuite, nous nous sommes amusés à comparer nos sexes : celui qui avait le plus gros, le plus long, le plus poilu, et surtout celui qui avait le sexe le plus bizarre, tordu ou gland décolleté ou une grosse bite, ce qui était mon cas.
Au début, on se compare le sexe mais par la suite nous nous tripotons mutuellement pour mieux comparer encore.
Il y avait beaucoup de monde qui voulait voir et toucher ma bite. Bien sûr, par la suite, ça s'est transformé en concours de branlette.
Par la suite, les concours de branlette se sont passés dans nos chambres et nous  nous sommes amusés à nous masturber mutuellement, à celui qui jouissait le premier et surtout celui qui avait le plus de sperme.
Moi, j'aimais bien toucher et branler les sexes de mes copains surtout lorsque j'avais un sexe dans chaque main.
Nous nous  sommes souvent amusés par la suite à faire des concours de branlette. Cela se passait surtout le soir. Puis, des plus grands que nous, âgés de 15 et 16 ans, nous avons rejoints pour participer à nos soirées.
Ils avaient des sexes plus gros et ils avaient plus d'audace. Le premier m?a sucé le sexe et j'ai joui dans sa bouche. Moi, j'étais tout gêné, mais lui, il a bien aimé ça et il a fait un patin à Roland, mon voisin de chambre, pour partager mon peu de sperme.
J'aimais aussi faire des branlettes en commun, c?est-à-dire joindre 3 à 4 sexes pour les masturber en même temps. À chaque fois qu'il il y avait quelqu'un qui jouissait, un autre prenait le relais  pour masturber les 3 ou 4 sexes. A la fin, tous les sexes étaient souillés du sperme de chacun et une odeur de phoques régnait dans la chambre.
Ma première sodomie a été tout à fait involontaire. Il y avait un garçon couché sur moi qui frottait son sexe contre mon cul et qui a ainsi involontairement introduit son sexe dans mon rectum.
C?était la première fois qu'on me sodomisait et je ne m?en suis pas rendu compte immédiatement car le garçon avait un très petit sexe. Par la suite, je me suis arrangé pour de me faire sodomiser par un garçon plus âgé et surtout qui avait un sexe beaucoup plus volumineux. Ca a été très difficile et très douloureux. Ensuite, nous avons inversé les rôles.
À cet âge, je n?avais alors que 13 ou 14 ans, j'avais un sexe bien calibré mais je sodomisais avec une simplicité et d'une facilité surprenante des garçons plus âgés que moi. Il est vrai qu?eux-mêmes avaient déjà été sodomisés par les plus grands. Au fil des années, nous observions nos changements et nous attendions les nouveaux pensionnaires pour savoir ce qu'il avait dans le slip.
Au début, il y avait toujours un peu de résistance mais, par la suite, chacun voulait participer comme pratiquement tout le monde.
A chaque fois, c?était la même chose : le lendemain tout le monde reprenait sa place dans le pensionnat et tout était oublié jusqu'à la partouse suivante.

Mon ami Sacanoix est très déçu du peu d'intérêt porté à ses compositions mais tu ne les as peut-être pas encore vues. N'hésite pas à aller les voir et à laisser un petit commentaire sinon il risque de me bouder tout le week-end :)
Et maintenant,

Mate et astique-toi

 

Bonne fin de semaine.