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Mardi 22 août 2 22 /08 /Août 14:42

Ami du blog, je te salue bien

Je ne sais pas ce qui se passe mais j'arrête pas de m'astiquer aujourd'hui.

Est-ce parce que mon Petit Coeur me manque trop ? Est-ce à cause de tous les commentaires que vous avez mis et qui sont hot chauds excitants ? Je n'en sais rien, peut-être les deux. En tout cas, depuis ce matin, j'ai la main qui s'agite en permanence sur ma bite en feu.

Je ne sais vraiment pas à quoi c'est dû, mais j'ai l'impression de n'avoir jamais lu autant de commentaires aussi excitants que maintenant. Je crois bien que certains ont eu des vacances très très sexe.

Je viens enfin de me mettre à jour avec le courrier que j'ai reçu pendant les vacances dans ma boîte perso. J'espère n'avoir oublié personne. Si tu m'as écris et que je ne t'ai pas répondu, je te demande de m'excuser, c'est sans doute que ton message s'est perdu dans tous les spams des vacances. Ecris-moi de nouveau en cliquant directement ici et je te répondrais le plus vite possible.

Pour ce qui est des commentaires laissés sur le blog, le nombre ne me permet pas de répondre individuellement à tous. Excuse-moi. Je vais essayer d'être plus sérieux dans les prochains jours.

Maintenant, quelques mauvaises nouvelles.

Tout d'abord, l'espace de stockage dont je dispose pour les photos est plein. Je ne peux donc plus en télécharger. Il est donc nécessaire que je trouve rapidement une solution mais cela risque de prendre un peu de temps et une partie du blog pourrait ressembler à un grand chantier avec des trous partout pendant quelques jours.

Comme un malheur ne viens jamais seul, j'ai de gros problèmes avec les vidéos. Je n'arrive pas à en télécharger pourr le moment sur bandogo et en plus, il semble qu'une ligue de vertu s'acharne à faire supprimer les vidéos téléchargées sous prétexte qu'elles sont indécentes. Si tu connais un bon hébergeur gratuit pour des vidéos ou de bons liens, tu serais gentil de nous en faire profiter. En attendant, je te rappelle que tu peux sans problème aller en mater tant que tu veux sur Intelacciatiitalia. Tu dois d'inscrire en donnant ton adresse mail mais c'est gratuit et ils n'utilisent pas ton adresse pour t'envoyer des spams publicitaires. Tu peux donc leur faire confiance. Je suis sûr que tu ne regretteras pas ton inscription. C'est un site italien, mais il y a une traduction française compréhensible. Pour aujourd'hui, je te propose "Brasil Nuts". Quatres copains jouent au billard, ils ont ce qu'il faut, les boules, les queues, ... 

D'après ce que j'ai lu des commentaires, tu aimes beaucoup les histoires scoutes. Elles t'inspirent. Je ne résiste donc pas à l'envie de te donner la suite.

Le camp allait bon train, il ne restait que quatre jours avant la fin. Nous pensions à cette échéance mais nous n’en disions rien, nous gardions ça chacun pour soi. Inconsciemment nous ne voulions pas que ce camp finisse, nous ne voulions pas que nos relations s’arrêtent comme ça.
La vie du camp se poursuivait. Après le début de nuit où Jean-Luc était passé (tout jeune chef à la troupe depuis le début du camp) dans notre tente, nous nous sommes réveillés au matin. Nous étions encore à moitié endormis quand le chef de troupe nous a annoncé que la troupe allait faire une journée « BA » (bonne action) dans le village proche de notre campement.
Il y avait du travail pour les quatre patrouilles. Jean le CP de notre patrouille s’était arrangé pour que notre patrouille soit seule, car il y avait un endroit où deux patrouilles devaient travailler ensemble pour donné un coup de main. Jean nous avait dit que c’était une surprise, que nous découvrirons l’endroit de notre « BA » au dernier moment. Je voyais que Jean avait l’œil malicieux, ce qui nous réservait bien sur une très bonne surprise, mais quoi ?
Nous n’allions pas tarder à découvrir de quel travail il s’agissait. Nous sommes donc partis à 6 en compagnie de Jean-Luc qui avait lui aussi bien arrangé les choses pour pouvoir nous accompagner. Chemin faisant, chacun y allait avec ses questions, ses avis et son imagination pour tenter de faire dire à Jean où nous allions. En fait nous avons traversé tout le village pour prendre la direction de la campagne. Nous marchions en nous demandant quel travail nous allions bien pouvoir effectuer pour l’habitant. Qui avait bien pu accepté notre offre, ou plutôt celle des chefs. Où allions nous travailler pour rendre service. Nous arrivons à la dernière maison de la rue, c’était une grande bâtisse avec une tourelle sur le coin avant gauche. Elle était retirée de près de 50 mètres de la route et pour accéder à la porte d’entrée il fallait monté par un perron avec double escalier. Il y a avait bien 18 fenêtres sur la façade avant. C’était semble-t-il une bâtisse de notable. A notre arrivée, nous avons été accueillis par une dame très charmante. Elle devait avoir 35 ans, brune avec des yeux verts. Elle avait le teint bronzé et elle devait sûrement revenir de vacances. Elle nous a montré le petit parc situé à l’arrière de la maison. Le parc qui n’était pas visible depuis la route, car il était bordé d’une grosse haie vive. Cette dame nous montrait ce que nous devions faire pour lui rendre service. En fait il fallait tondre la pelouse, ramasser l’herbe et nettoyer le potager qui se trouvait au fond de la propriété à côté d’une serre où poussait de la vigne grimpante. La suite de la visite était assez intéressant. Elle nous a montré la piscine qui se trouvait située à l’arrière droit de la demeure. Elle était entourée elle aussi d’une haie vive, raison pour laquelle nous ne l’avions pas remarquée. La dame nous dit alors que si nous avions bien travaillé, nous pourrions y aller faire un petit plongeon.
Une fois le tour de la propriété terminé, elle nous montra les outils de jardinage qui se trouvaient dans une remise située à côté de la serre. Il y avait 2 tondeuses, 3 ou 4 râteaux à herbe, des rasettes, etc. Je me suis mis avec Henri pour ramasser l’herbe que Roland coupait avec une tondeuse, il faut dire que l’autre était en panne. Jean, Marc et Philippe s’occupaient à nettoyer le potager. Jean-Luc, quant à lui, il faisait des allés et retours avec la brouette pour jeter l’herbe sur le compost qui se trouvait aussi à côté du potager.
Après une heure et demie de travail, notre hôtesse nous a apporté une collation. Elle nous dit aussi que pour manger, elle avait prévu de faire un barbecue pour y cuire des saucisses. Nous avons repris le travail après une pause bien méritée de 10 minutes.
A midi trente le barbecue était prêt. Nous avons manger en compagnie d’Alexandre, le fils de la maison. Il avait mon âge à peu de chose près, tout au plus avait-il six mois de plus que moi. Il était cependant plus grand, il avait au moins 10 centimètres de plus. Il avait l’allure sportive, il était fort élancé, il avait les cheveux châtains moyens, des yeux marrons et une bouche assez sensuelle. Il était vêtu d’un short de tennis blanc et d’une blouse couleur ocre sans manche. Il portait des sandales en cuir brun. On voyait qu’il avait profité du soleil car il avait le teint halé, il avait pris le soleil.
Après le repas nous avons changé les équipes. Henri et moi, en compagnie de Jean-Luc, nous avons terminé de nettoyer le potager, nous avons ensuite ranger la serre. Les autres, quant à eux, ils terminaient de tondre la pelouse et de ramasser l’herbe pour la mettre au compost.
Ah ! Enfin fini ! Il était presque 16h00. Alexandre était venu nous trouver pour nous dire que nous pouvions aller à la piscine. Il nous a dit aussi de ne pas nous inquiéter, que nous pouvions profiter de la piscine et de la terrasse pour nous reposer. Alexandre nous dit aussi qu’il serait heureux de pouvoir jouer avec nous dans l’eau. Nous avons accepter avec joie.
Nous arrivons à la piscine. C’était une piscine qui devait avoir environ 12 mètres sur 6 mètres. La grande profondeur avait plus ou moins 2 mètres. Alexandre nous montre alors un chalet jouxtant la terrasse. Il nous dit de nous déshabiller là. Nous lui avons dit ne pas avoir de maillots de bain avec nous. Ce qui ne nous dérangeait pas du tout entre nous. Il nous répondit : « ça n’est rien, nous nageons souvent nu en famille ». Il ajoute alors : « vous pouvez faire de même, il n’y a pas de problème ».
Hop, en trente secondes nous voilà tous les huit à poil. Alexandre n’était pas gêné pour un sou. On voyait qu’il avait l’habitude d’être nu car il avait un corps bien bronzé et on ne voyait pas de marque de maillot, il était sûrement naturiste. Il avait une queue assez fine mais longue, environ 12 centimètres. Il avait une toison d’un noir intense au niveau du pubis. On voyait ses pectoraux bien dessinés, il avait la cage thoracique en forme de « V » comme les grands sportifs. Il avait de superbes fesses bien galbées. Alors, bronzé comme il était il avait tout d’un bel adonis.
Nous voilà donc à l’eau. Nous nous éclaboussions, nous riions ensemble, nous étions heureux de pouvoir nous délasser ainsi dans un endroit calme et à l’abri des regards. Dans l’eau nous nous frôlions, nous nous caressions, il y avait des mains qui traînaient et qui se posaient sur nos sexes. Je sais qu’à un moment Alexandre faisait la même chose que nous, il participait lui aussi à nos jeux sensuels, à nous jeux sexuels. Il m’avait aussi mis la main au panier. Je me suis dit : « toi mon ami, tu est comme nous aussi, tu aimes le sexe, tu aimes sûrement le sexe entre garçons ».
Après 20 minutes de jeu, nous avons décidé de nous étendre au soleil, sur la terrasse. Nous voulions profiter du soleil, du calme du parc, bref nous détendre avant de retourner au campement. Des grands matelas étaient disposés en demi cercle. Il y en avait quatre. Henri et moi nous avons pris place sur le premier, Jean et Marc en firent autant, suivi de Roland et Philippe. Alexandre invita Jean-Luc sur le dernier matelas, matelas situé à côté du mien.. Au bout de quelques minutes on voyait que Jean-Luc et Roland bandaient, ils avaient le sexe dressé vers le ciel. On s’est tous mis à rire, même Alexandre. Dans les minutes qui ont suivis, nous étions tous les huit avec le sexe bandé, en train de rire. Je ne me souviens plus, je ne sais plus qui a commencé, mais nous avions chacun une main sur notre queue et nous faisions des mouvements de va et vient. Alexandre n’était pas en reste, il s’astiquait avec raffinement, il prenait son temps. Henri me demanda alors s’il pouvait me branler, sans attendre ma réponse il posa sa main sur celle qui tenait mon sexe, il l’a retira et commença à me masturber. Alexandre qui était près de nous pris un air amusé. Il ne perdait rien de la scène qui se déroulait sous les yeux. Sans rien demander à Jean-Luc, il vient lui prendre le sexe de la main pour le masturber à son tour. Il semblait bien s’y prendre lui aussi. Nous étions tous les huit occupés à nous branler mutuellement, deux par deux. Après un moment Alexandre nous dit que ça serait bien de changer. Je me suis levé pour rejoindre Alexandre. Je croix que c’est ça qu’il voulait, il n’avait pas arrêté de me regarder quand je m’occupait d’Henri. Henri était rejoint par Roland, je savais que Roland avait lui aussi envie de mieux connaître Henri. Marc allait rejoindre Philippe, tandis que Jean-Luc rejoignait Jean, notre CP. Nous avons poursuivi nos masturbations mutuelles. C’est Jean qui éjacula le premier, suivi de Henri. Moi de mon côté j’étais heureux d’être avec Alexandre, je le découvrais, il était doux, câlin même. Il avait ce côté d’adonis qui me plaisait. De plus, il savait y faire, je pouvais me rendre compte que je n’étais pas le premier garçon qu’il masturbait. Il tenait mon sexe en main avec une grande délicatesse. Il me masturbait délicatement, dévoilant mon gland à chaque mouvement descendant et le recourant à chaque mouvement montant. Il me caressait les boules, il passait aussi sa main sur la galbe des mes fesses. Moi de mon côté je n’étais en reste, je lui rendais ses caresses, le m’attardais aussi à ses fesses, elles étaient parfaites, bien galbées, douces au touché. Alexandre avait aussi l’haleine fraîche et je rapprochais ma bouche de la sienne pour voir sa réaction. Nos bouches étaient tout près l’une de l’autre. Alexandre posa ses lèvres sur les miennes, j’ai ouvert ma bouche, j’ai passé la langue et j’ai forcé le passage pour l’introduire dans celle d’Alexandre. Il n’a pas résisté longtemps. De son côté il fit de même, il mit sa langue dans ma bouche pour venir titiller ma langue. Nous avons échangé un long baiser. Nous avons continué à nous branler avec intensité, je sentais que j’allais venir, j’avais le souffle de plus en plus court. Alexandre de son côté respirait de plus en plus fort. Nous avons émis chacun des râles de bonheur. Nous nous sommes cabrés, nous avons jouis presque en même temps. Son sperme s’est écrasé sur ma main, le mien en partie sur le ventre et sur sa main. Nous avons alors échangé à nouveau un long baiser mouillé, nos salives se mêlaient. Les autres avaient eux aussi jouis. Ils étaient heureux de ce qui venait de se passer.
Après les galipettes, nous avons plongé à nouveau une tête dans la piscine avant de nous essuyer et de nous rhabiller.
Au moment de partir, j’ai bien vu qu’Alexandre était un peu triste. Il semblait regretter notre départ. Il aurait voulu que nous restions encore un peu, mais le repas nous attendait au camp. Nous avons repris le chemin du retour, heureux d’avoir vécu ce moment de repos et de bonheur inattendu.
Au soir, après le feu de camp nous avons rejoint notre tente pour y passer la nuit. Nous avons parlé entre nous de ce que nous avions vécu durant la fin de journée. J’avais encore à l’esprit le visage d’Alexandre, j’avais encore en souvenir son odeur, le goût de sa salive, l’image de son pénis qui se laissait caresser par ma main. Bref je me suis endormi avec ses pensées sensuelles, avec le visage d’Alexandre en mémoire.

Maintenant, tu peux continuer à envoyer des messages bien chauds car on a que le bien qu'on se fait et, comme dit mon Petit Coeur, autant faire couler le jus que le sang.

A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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