Dimanche 4 juin 7 04 /06 /Juin 23:51

Salut, ami visiteur

En forme pour une nouvelle semaine de chauds plaisirs ?

Là maintenant, je suis plutôt chaud, à poils en train de m'astiquer pendant que j'écris ce billet. Tu te demandes ce qui me met dans cet état-là. Alors lis la petite histoire suivante et tu comprendras.

J'ai toujours eu un petit faible pour les petites racailles. En général ce sont des petits mecs pas mal délurés qui savent très bien ce qu'ils veulent et où ils vont. Évidemment, côté baise ce sont les plus beaux petits cochons qui soient. Ramón, parce que c'est de lui qu'il est question ici, est comme ça et je dirais même beaucoup plus encore.

Lorsque je le vis la première fois, c'était à l'épicerie de quartier tout près de chez-moi. Nous étions en juillet et il faisait une canicule à nous allonger les couilles jusqu'aux talons. Je l'aperçus alors qu'il était sur un petit podium à placer des légumes dans le comptoir réfrigéré. J'en suis devenu troublé au point de ne plus savoir où regarder ni où me mettre tant ce petit mec était beau et sexy. Il devait avoir 17 ou 18 ans, pas plus. Peau très basanée, imberbe, probablement Caribéen ou quelque chose du genre. Un mélange de Noir, de Latino et peut-être aussi d'Indien Caribe, je ne sais trop. Un petit corps à faire rêver, plutôt mince et musclé, juste ce qu'il faut. Un dieu quoi. Il avait les cheveux courts, couleur de l'ébène, les yeux noirs, le regard perçant, le sourcil épais, la lèvre aussi. Il me regarda, me sourit généreusement d'une bouche incroyablement appétissante et pourvue d'une dentition impeccable, blanche immaculée. On aurait cru la perfection.Il portait un débardeur moulant et transparent fait de mailles très lâches au travers desquelles on distinguait des halos mammaires obscurs et grands du milieu des quels pointaient des mamelons aussi énormes que des bouts de doigts. Une touffe de poils noirs et denses lui dépassait des aisselles. Il portait également un mini short en jean très ajusté et déchiré à plusieurs endroits dont à l'intérieur de la cuisse gauche ce qui lui laissait dépasser un bout de queue. Il avait également un trou à l'arrière de son short, ce qui me permettait de voir sans problème, la raie de son cul, très beau petit cul rebondi et ferme. Je m'imaginai alors ce que ce petit cul devait bien sentir et goûter.

Puis nos regards se sont croisés alors qu'il tenait fermement dans les mains, un immense concombre anglais qu'il caressait lascivement de haut en bas simulant ainsi la masturbation. Il caressait le long légume de ses gros doigts spatulés tout en se frottant le généreux paquet sur le rebord du comptoir. Et soudainement il sortit la langue, la passa sur ses lèvres charnues 3 ou 4 fois en me fixant droit dans les yeux puis me lança un sourire des plus complice en me faisant un clin d'oeil qui en disait long. Trop, c'en était trop.

Ne sachant plus trop où regarder, je baissai les yeux et m'aperçus alors que le bout de queue qui dépassait de son short était devenu encore plus long et gonflait à vue d'oil. Une queue longue, brune et lourde, pourvue d'un gland énorme comme une poignée de porte et j'exagère à peine. Nos regards se croisèrent de nouveaux puis il me relança d'un autre sourire encore plus convaincant puis me fit de nouveau un autre clin d'oil en sortant la langue. Moi qui depuis des lustres n'étais plus habitué à autant de manifestation envers ma personne, je fus soudainement pris de panique et décidai de faire quelques achats pour apaiser toute cette tension qui me pesait depuis que j'avais franchi la porte de cette épicerie. Je découvris alors pour la première fois, à quel point mon épicier de quartier avait une gamme de beaux produits à offrir à ses clients et évidemment je pensais à Ramón, à ce qui lui pendait hors du short et bien sûr, ce que je devinais qu'il avait dans le short.

Arrivé à la caisse, j'avais tellement acheté pour essayer de calmer mes ardeurs qu'il était évident qu'une livraison s'imposait. Le caissier qui me connaissait très bien depuis toutes les années que je suis client chez-lui, me proposa une livraison à domicile et c'est Ramón qu'il désigna pour la faire. Il me fit un petit sourire moqueur, reluquant vers le petit légumier au teint basané et me dit que Ramón livrerait chez-moi. C'est à ce moment que j'ai su qu'il s'appelait Ramón. Je me surpris alors à imaginer ce jeune adonis sur une selle de vélo de livraison avec son accoutrement sexy, pédalant
la queue pendante sortant de son short. Soudainement, une érection incontrôlable se fit sentir avant même que j'aie eu le temps de payer la note. Je quittai l'épicerie avec un grand sourire aux lèvres et me dirigeai rapidement vers chez-moi.

En rentrant chez-moi je ne pus que constater mon bordel de la veille. Des revues et des films pornos traînaient ici et là sur le tapis du salon. Il y avait sur la table à café, des condoms, un tube de lubrifiant et ma série de godes alignés du plus petit au plus gros. Non mais moi qui donnais l'impression d'être un homme d'âge mûr sérieux et bien rangé, voilà que tout allait basculer avec cette mise en scène érotico-pornographique que ce jeune homme aurait sous les yeux en pénétrant chez-moi. De toute évidence je n'avais pas le temps de faire du rangement avant que n'arrive le beau Ramón. Il faisait trop chaud pour mettre de l'ordre et advienne que pourra, dorénavant je ferai passer pour le vieux cochon qui s'en met plein le cul en s'enfilant des godes gros et longs comme ça.

Je décidai de pisser un bon coup car c'était ce qui pressait le plus avant que le jeune fauve n'arrive. J'étais encore excité avec un reste d'érection dans le pantalon. La queue me bavait au point que j'en avais le prépuce collé au fond du slip. Ma grosse bite aussitôt hors du jean, me vint soudainement l'odeur masculine du désir m'envahir et me pénétrer les narines. Cette odeur que j'associe tant au sexe et à la bonne queue de mâle, celle-là même que je recherchais dans les buissons des parcs, à une certaine époque alors que ma bouche gourmande n'en pouvait plus de n'avoir rien à se mettre sous la dent. J'avais à peine eu le temps de me secouer le membre et de me passer le pouce sur le gland pour enlever le jus de désir qui me coulait de la queue, que le carillon de la porte se fit entendre. Il n'y avait pas de doute, c'était lui. C'était Ramón. Vite je sortis en trombe de la salle de bains, un peu plus excité et appuyai sur le bouton de la porte pour le faire entrer.

Il était là au bas de l'escalier encore plus beau qu'à l'épicerie. Je le regardai gravir les marches avec les sacs d'épicerie dans les bras, sa grosse et longue queue dépassant de son short. La canicule agissait sur ses parties génitales, c'était évident. Il déposa les sacs dans l'entrée, à mes pieds. D'un regard vif ses yeux firent un tour rapide des lieux puis il me fit un sourire espiègle et complice avant de redescendre chercher les sacs qui étaient restés sur son vélo de livraison. En remontant l'escalier je m'aperçus qu'il avait alors une érection totale et sa longue queue brune de dressait droit devant lui retroussant le rebord de son short. De lourdes couilles grosses comme des oeufs remplissaient un long sac brun et lisse qui pendouillait et balançait de gauche à droite au fur et à mesure qu'il montait les marches. De toute ma vie c'était de loin le spectacle le plus érotique que je voyais à ce moment-là. Non mais imaginez un peu la scène : un dieu de 17 ans gravissant votre escalier avec une teub brune d'au moins 24cm, bien raide, pointant droit devant lui, le tout garni d'une belle touffe de poils noirs, et de lourdes couilles dansant ensemble la plus belle valse du monde.

Arrivé sur le seuil de la porte il déposa les derniers sacs, se redressa et de ses yeux rusés, il fit un autre tour d'horizon du salon. D'une main il s'appuya sur le cadre de la porte et de l'autre il agrippa son long membre obscur et dur et d'un coup de bassin vers l'avant il me dit :
"Chupa, chupa, chúpamela, chúpamela bien".
Il libéra la main qui le retenait au cadre de porte, s'écarta les jambes, les genoux un peu fléchis et se cracha abondamment dans les mains. Il empoigna son immense gland à deux mains, le frottant à un rythme effréné, se masturbant et se branlant les couilles de gauche à droite dans un mouvement endiablé du bassin. Puis il me dit d'une voix ferme et décidée :
"Es tuya, por favor chúpamela, es tuya".

Le peu d'espagnol que je connaissais était suffisant pour que je comprenne ce qu'il voulait que je lui fasse et sans plus tarder, je me jetai à ses pieds, m'accaparai de cette énorme bite et de ce gros gland suintant le désir. Je me suis mis à le lui bouffer comme la chose la plus rare et la plus précieuse au monde. Il faut dire que ça faisait belle lurette que je ne bouffais plus de queue, mon seul plaisir étant celui que me procuraient à l'occasion, mes fidèles godes et ce depuis un moment déjà. Ce gland gigantesque qui me remplissait la bouche était sans doute ce que j'avais bouffé de meilleur et de plus gros à ce jour. Tout à fait le goût qui me venait en tête lorsqu' étant plus jeune, j'avais envie de bouffer de la grosse teub et que je sortais m'en chercher une dans les buissons des parcs. Je me souvins des effluves de toutes ces belles queues qui me passaient sous le nez et qui me pénétraient les narines et les papilles. Je me souvins de tout ça sauf que là j'avais beaucoup plus encore et à moi tout seul. Je n'avais pas à partager mon butin comme dans le bon vieux temps, quand 5 ou 6 mecs faisaient la queue pour sucer la plus grosse bite qui s'y trouvait. Moi, j'avais là, le plus beau et le plus gros morceau du monde entre les mains et de plus, j'étais chez-moi, dans mon salon et pas avec n'importe qui. J'étais avec Ramón, le beau Ramón et, déjà je l'aimais.

À deux mains j'entrepris de manipuler son long membre alors que ma bouche s'affairait à avaler le plus de centimètres possibles. Aussi bien en profiter quand ça passe, me disais-je, tout en dévorant l'énorme et délicieux gland que je tenais ferme de mes dix doigts. Cette queue était un pur délice, goûteuse à souhait et dotée d'un prépuce abondant qui ne faisait pas mieux que d'y capter ces saveurs qui me plaisent tant. Mais quel gland! Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Je m'acharnai à le lui siphonner, à essayer d'en extraire toutes les saveurs et d'en extirper le plus de jus possible qui viendrait à jaillir. Je désirais profiter au maximum de cet instant magique et humer toutes les odeurs de ce corps et de cette queue. Déjà pour son jeune âge, Ramón avait tout du mâle mature. Tout de la virilité caribéenne était omniprésente chez cet être ensorcelant, non seulement les saveurs mais les mensurations aussi. C'est à se demander s'il avait terminé sa croissance le petit Ramón, car s'il avait eu encore à croître de la queue il aurait souffert d'une grave infirmité, ça c'est sûr. Mais ce qu'il goûtait bon mon Ramón. Ce qu'elle était bonne sa queue, sa belle grosse queue de macho caribéen.

"Chupa, chupa, sí papi, chupa, así, así papi," me disait-il alors que moi, je ne cessais de m'appliquer la bouche pleine, à faire son bonheur et le mien tout autant. Je m'affairais sur son long membre viril, dur et gonflé au maximum lorsque tout d'un coup il se raidit et se mit à trembler de tout son corps puis hurla à haute voix :
"Cola, cola la leche papi"

Sans que j'aie eu le temps de réagir, une giclée de liquide chaud, de nectar des dieux devrais-je plutôt dire, me remplit la bouche et sans tarder j'avalai tout son jus de couilles qui à mon avis était du vrai bonbon que je laissai couler jusqu'au fond de ma gorge et profondément en moi. J'étais aux anges.

Après les longues giclées, il reprit rapidement ses esprits et essaya de remettre en place dans son short trop petit, la vingtaine de centimètres de queue et de couilles dont l'avaient si généreusement pourvu ses géniteurs. Mais rien à faire, toute cette abondance de chair débordait d'un côté ou de l'autre. Du regard il fit un dernier tour d'exploration des lieux et sourire aux lèvres il me mordit tendrement le lobe de l'oreille en me chuchotant :
"Fue muy rico, muy, muy rico papi. A mí me gustó mucho, ? y a tí papi, te gustó?"

Avant même que j'aie eu le temps de trouver les mots pour lui répondre, il effleura ses grosses lèvres pulpeuses sur les miennes, les embrassa tendrement, sans plus et me dit:
"Volveré, sí volveré" en souriant et en regardant les objets érotico-pornographiques qu'il avait sous les yeux.

Il dévala les marches du paradis à vive allure et quitta sur son vélo, sourire aux lèvres, les organes au vent. Je réalisai alors que je n'avais même pas été foutu de lui remettre le généreux pourboire qu'il avait pourtant si bien mérité pour cette livraison et ce petit extra surprise surtout tant apprécié. Je devais sans doute être terriblement troublé par ce qui venait de m'arriver et par le beau Ramón.

Alors, qu'en dis-tu ? Ca ne te fait pas grimper la petite bêbête ? Dans ce cas, vas voir les pip photos que je viens de mettre en ligne puis mate la Pip vidéo du jour. Au passage, je te rappelle que le jus d'un inconnu peut nuire gravement à la santé. Pipe tant que tu veux mais pipe sans risque !

Bonne semaine et pip bisous.

 

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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