Le voyage à Marrakech

Hello, ami Gay ou bi

J'espère que pour toi, tout va bien.

De mon côté, pas de problème, le premier obstacle a été franchi sans trop de difficultés, le prochain est pour lundi. D'ici-là, il va falloir bûcher ferme. 

A chaque jour suffit sa peine, alors maintenant je fais relâche, le temps de rêver un peu et de t'emmener à Marrakech.

Après deux mois passés dans ma nouvelle entreprise, j’apprends que le comité d’entreprise organise pour les salariés un voyage à Marrakech. N’étant jamais allé au Maroc, je me renseigne pour savoir si j’ai le droit d’y aller. C’est le cas, donc je m’y inscris.

Me voilà donc à l’aéroport avec une trentaine de collègues, plus leurs familles respectives. Alexis, mon chef, Moussa, le vigile, et Robert mon « parrain » avec sa femme, sont du voyage, entre autres. Je ne connais pas les autres collègues.

Après 3 heures de vol, nous débarquons à Marrakech, et partons vers l’hôtel 4 étoiles dans lequel nous logerons pendant une semaine.

Les chambres sont distribuées, et je me retrouve à partager la mienne avec un mec de la comptabilité, fagoté comme l’as de pique. Il est plus jeune que moi, 20 ans environ, brun aux yeux noirs, cachés derrière des lunettes ringardes. Sous sa chemisette à carreaux, il a un petit bide naissant. Il s’appelle Thierry. Moi qui espérais être avec Moussa ou Alexis pour pouvoir nous éclater la rondelle de façon discrète dans la chambre, et bien c’est raté !!! Bref, je n’ai pas le choix, alors -

Il est tard, donc on se couche dans nos lits respectifs, mais avant qu’il ne mette son pyjama en pilou – pilou, je vois que malgré tout, il est bien monté. Je dors toujours à poil, et je ne fais pas d’exception ici. 

Le lendemain matin, quand je me réveille Thierry n’est plus dans la chambre. Je me douche, enfile un jock noir, un short noir bien moulant, un débardeur blanc et des baskets blanches, et part me balader en ville. C’est somptueux : les trottoirs sont en mosaïque, les maisons sont de couleur jaune et ocre. J’aperçois la Koutoubia, la mosquée et son minaret, dominant l’avenue Mohamed V. Arrivé sur la place Jema El Fna (je demande à nos amis marocains de m’excuser si j’ai mal orthographié), je vois des tas de gens se baladant ici et là. Les voitures passent dans tous les sens, risquant de renverser les vélos, les mobylettes ou les piétons qui ne font pas du tout attention où ils vont. Des charmeurs de serpents s’approchent de moi et enroulent une de leurs bêtes autour de mon bras. 

Je me promène dans la foule, et je sens des mains baladeuses qui me tripotent les fesses ou le paquet. Au début, je pense que c’est une erreur, mais cela arrive trop souvent pour que ce soit le cas. Ce sont des hommes de tous ages qui me pelotent.

Je rentre dans les ruelles menant au souck. J’ai toujours eu envie de porter des « sarouels », ces pantalons bouffants se rétrécissant au niveau des chevilles,  alors je rentre dans une boutique, et demande au vendeur, un marocain d’environ 30 ans, grand, épaules larges, bras poilus et musclés, s’il en a. Il porte une djellaba blanche. Il me dit : « tu es là où il faut. J’ai tout, des djellabas, et tout et tout. » Il me prend par le bras et m’entraîne au fond de la boutique. Il me montre plein de choses, et finalement m’apporte des « sarouels » de différentes couleurs. J’en prend un blanc, et lui demande si je peux l’essayer. « Oui, suis moi derrière, tu pourras te changer. » Une fois derrière, j’enlève mon short, pour pouvoir essayer mon éventuel achat. Je ne réalise qu’une fois que mon short est baissé que mes fesses sont à l’air avec mon jock, et que le vendeur est à côté de moi. Je me retourne vers lui et vois sa djellaba se dresser à peu prêt au centre de sa personne. Il s’approche de moi et me fout les mains aux fesses. Il me les malaxe fermement. Je soulève sa djellaba et sa pine circoncise se lève droit vers le plafond. Je m’agenouille et l’avale. Il prend ma tête et m’oblige à le pomper énergiquement, en tirant et poussant de façon à le branler entre mes lèvres. C’est lui qui dirige ma fellation, et enfonce sa bite le plus loin possible dans ma gorge. Celle-ci se resserre automatiquement au niveau des amygdales, emprisonnant sa queue. Je sens qu’il veut jouir. J’ai juste le temps de me reculer avant que son sperme ne jaillisse de sa pine et m’éclabousse la tête. Il me donne un chiffon pour m’essuyer le visage. Je met le sarouel. Il me va bien. Je demande au vendeur combien je lui dois. Il me répond que je ne lui dois rien, que ce que je lui ai fait le paye largement.

Je remets mon short moulant, et reprends mon chemin dans les ruelles du souck.  Chaque fois que je passe devant une boutique, les vendeurs m’interpellent pour me vendre leurs marchandises.

Après 20 minutes, je rentre dans une autre boutique. Cette fois, je veux acheter une tunique pour aller avec mon sarouel. Dans cette boutique, j’ai à peine commencé à leur expliquer ce que je recherche, que l’un des deux vendeurs, s’étant placé derrière moi, un jeune de 20 ans, me fout la main aux fesses et essaie d’enfoncer un doigt dans ma raie du cul, pendant que le deuxième, un homme plus âgé que moi, me montre des tuniques noires ou blanches. Ce dernier, m’enlève mon débardeur pour que j’essaie ses tuniques, et en profite pour me foutre la main au paquet. Déjà excité par le doigt du « jeune », ma queue durcit ente les mains du « vieux ». Je mets le mot vieux entre parenthèse, car il a à peine plus de 10 ans de plus que moi. Le « jeune » baisse mon short et mon jock, écarte mes fesses et me lèche le trou. Le « vieux » avale ma bite déjà à moitié raide, qui ne tarde pas à l’être complètement. La langue du jeune entre dans mon fion. Il crache sur mon trou et commence à enfoncer sa queue dedans. Je vérifie avec ma main droite, qu’il a mis une capote. C’est bon !!! Il me défonce et ma queue entre complètement dans la bouche du « vieux ». Après quelques minutes dans cette position, le « vieux » se relève, me met une capote sur la pine, se retourne et écarte ses fesses pour que je le bourre. On reste comme ça en mini - chaîne pendant de longues bonnes minutes. Moi en train de bourrer le « vieux » et me faisant défoncer par le « jeune ». L’engin qui me troue le cul est bien épais et assez court, et les coups de rein du « jeune » sont lents. Puis, les deux vendeurs changent de place. J’enfonce ma queue dans le fion du « jeune », et le « vieux » me bourre le cul avec sa bite aussi épaisse que celle du « jeune » mais beaucoup plus longue. C’est le pied total !!! Cette partie de défonce dure encore et encore, et les coups de pine du « vieux » me font pousser des gémissements, amplifiés par l’étroitesse du trou du « jeune » qui resserre à fond ma queue raide. Le « vieux » se retire de mon fion, se branle et me jouit sur les fesses. Le jeune, après s’être retourné vers moi, éjacule sur mon ventre, mais cette fois, aucun des deux ne me donne quelque chose pour m’essuyer. J’ai la queue toujours raide, mais ils m’empêchent de me branler. Je me rhabille, couvert de foutre, et repars avec deux tuniques qui ne m’ont coûtées que quelques coups de bites. Je rentre à l’hôtel. Je sens le foutre à plein nez, et je vois que plusieurs employés de l’hôtel me regardent un peu bizarrement.

Heureusement, Thierry, avec qui je partage la chambre n’y est pas. Comme je suis encore excité par mes aventures au souck, je m’enfile un gode dans le fion, et me branle pendant 20 bonnes minutes tout en me bourrant avec le gode. Après mon éjaculation, je prends une douche et m’installe à poil sur mon balcon, pour prendre le soleil.

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Avec tous les congés de ce mois de mai, on a un peu oublié les leçons de branle. Pourtant, il faudrait terminer le programme avant la fin de l'année académique. Voici donc la 26ième leçon que je t'invite à aller suivre maintenant en cliquant ici.

Puis, après le cours, tu pourras aller prendre une petite douche avec le mec en slip.

Voici maintenant le petit lien coquin que tu attends.

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A la prochaine