Lundi 1 mai 1 01 /05 /Mai 16:26

Hello, ami visiteur

Je te souhaite un bon 1er mai.

Pour te porter bonheur, je suis aller cueillir quelques brins de muguet sur le Dblog de Tonton Jean.

Comme aujourd'hui c'est un jour férié, il n'y a pas de cours de masturbation. Il est remplacé par "la cour de récréation", une histoire que j'ai trouvé pour toi.

Je suis ce que l'on appelle un hétéro pur jus, mais, mes premiers ébats amoureux furent plutôt homo.

 

J'ai toujours pensé au sexe et surtout au mien. J'étais fasciné par ce  petit tube entre mes jambes que je caressai et faisais durcir entre mes doigts dans les toilettes de l'école communale de mon village.

 

Je sentais malgré mon jeune âge que je désirais toujours plus et que le simple fait de penser au sexe me provoquait des érections incontrôlables.

 

La première fois que j'ai touché une autre bite que la mienne j'étais en 6ième dans un collège de garçon de la région parisienne.

 

Tous les élèves de la 6ième à la 3ième étaient réunis dans la même cour au moment des récréations. D'habitude, je n'allais jamais dans les urinoirs car je ne pouvais pas m'empêcher de regarder les autres garçons à coté de moi et j'avais évidement beaucoup de mal à cacher l'érection que me provoquai la vue de ces autres bites.

 

Mais un jour, car il en faut un, une envie d'uriner me faisait terriblement souffrir et les toilettes à fermetures étaient toutes occupées. Apres avoir vérifié qu'il n'y avait personne au alentour des toilettes, je me dirigeai alors vers le local aux urinoirs, en pensant que ça me laissait le temps de pisser avant qu'un autre gars arrive. Le local était vide, enfin?. Pipi?.

 

Alors que je me soulageais, un bruit de pas retentit dans le local, je me retournai et vit un « grand » de troisième que je connaissais de vue, je pris une pose « cool » tout en sifflotant ; pas de risque qu'il s'installe à proximité car j'étais seul et ce n'était pas la place qui manquait.

 

Mais, contre toute attente, il s'installa juste à coté de moi, je rougis de confusion et je n'osais pas bouger, il tira sur sa braguette et sorti une bite énorme, couleur caramel avec le bout de son gland rose qui pointait au bout de cette bite, j'en garde encore le souvenir. Je savais qu'il me regardait, je sentais son regard par-dessus ma tête, je ne pouvais pas détacher mes yeux de ce morceau, un fourmillement naquit dans mon bas-ventre et une érection instantanée m'obligea à me plaquer contre l'urinoir. Il s'en aperçu et en me regardant de haut il me dit :

 

 - « Des fois, on n'arrive pas à pisser, c'est pas grave.

 

Tout en disant cela, je voyais sa bite enfler et se redresser, son gland sorti complètement de son prépuce et sa main caressait son engin

 

 - « T'en n'as jamais vu une si grosse ? » me dit-il tout en se branlant doucement.

 

Il tourna la tête à droite et à gauche de lui puis, très rapidement, se tourna vers moi.

 

J'étais beaucoup plus petit que lui et sa bite était maintenant si proche que sans me contrôler, je la pris entre mes mains. Elle palpitait entre mes doigts et je sentais la chaleur de sa queue pénétrer la paume de ma main. Mon c?ur battait la chamade et le sang dans mes oreilles faisait un bruit assourdissant.

 

 - « tu peux l'embrasser, j'aime bien aussi ».

 

Je me baissais et approchais ma bouche de sa bite, elle sentait le pain frais et tout mon corps frémis d'excitation. Je lui fis quelques bisous simples le long de sa queue puis sur son gland, il m'écarta un peu, enleva le bouton de son pantalon et sorti tout son sexe, je n'avais jamais vu ça et je pris d'une main tremblante, ses couilles poilues, dures et rondes. Il écarta un peu les cuisses et ma main s'est aventurée plus loin sous ses couilles jusqu'au moment où le bout de mes doigts rencontra son anus. Un petit râle et une vibration dans sa queue me fit comprendre qu'il était heureux. J'étais au bord de l'évanouissement de plaisir.

 

 - « tu me montres la tienne ? me dit-il en soufflant »

 

J'étais en transe, je baissais mon pantalon sans me soucier de savoir si quelqu'un pouvait nous voir ou entrer à l'improviste, de sa main gauche il m'a caressé la queue en souriant et me tira les quelques poils qui commençaient à coloniser le dessus de ma bite.

 

C'était tellement bon. Il posa ses mains sur mes épaules et appuya pour me faire accroupir, sa queue me fit alors face. Il posa sa main droite derrière ma tête, la poussa doucement vers sa queue et posa le bout de son gland sur mes lèvres, quelle sensation, ma bite était tellement dure qu'elle me faisait mal et je sentais une impression étrange et indéfinissable me travailler le bas-ventre, j'ouvris la bouche de la façon la plus naturelle du monde, et accueillis son gland dans ma bouche et commençait à le sucer goulûment. Il poussa un petit cri et me pressa l'arrière de la tête pour que j'avale un peu plus de sa bite. Il man?uvra sa queue dans ma bouche avec un va et vient de plus en plus rapide, son gland tapai au fond de ma gorge et ça m'excitait comme jamais je ne l'avais été, dans le même temps, je sentais couler dans ma bouche un liquide curieux, un peu acide, qui me brûlait un peu la langue. Son étreinte était de plus en plus ferme et soudain, dans un râle il éjacula dans ma bouche qui se remplit de son sperme, j'ouvris grand la bouche de surprise et m'écartait vivement. Je vis les dernières giclées de sperme maculer ma chemise.

 

En même temps, par réflexe, je déglutis et avalais le sperme que j'avais dans la bouche. Il y en avait tellement que j'ai eu un peu mal au c?ur mais avec le recul c'était merveilleux.

 

Il haletait tout en se pinçant le bout de la bite et essuya les dernières gouttes de sperme sur mon visage. Il souffla bruyamment et remit sa bite dans son pantalon, tira sur sa braguette et me dit en m'embrassant sur la tête « tu t'es débrouillé comme un chef, à plus tard » et il sorti.

 

Je suis resté accroupi le cul à l'air pendant combien de temps ? Je ne saurais le dire. J'entrepris alors de me branler pour la première fois, tenant ma bite entre mes doigts j'ai commencé faire aller et venir la peau sur mon gland comme je l'avais vu faire quelques minutes plutôt et au bout de deux ou trois va et vient, une sensation incroyable me serra le ventre et j'éjaculai en jouissant assez bruyamment. J'avais du sperme dans la main, mon sperme...

 

Je le regardais avec une joie indicible j'approchais la paume de ma main vers mon visage et après l'avoir rapidement reniflé je l'ai léché avec gourmandise.

 

Je me suis relevé en me reculottant et me suis dirigé en tremblant vers la sortie.

 

La cour était baignée de soleil, il était assis à quelques mètres de moi, sous le préau. Lui et ses copains affichaient un sourire qui me fit penser que mon expérience ne faisait que commencer.

 

 

Pour terminer ce message, voici le petit lien coquin.

A la prochaine.

 

 

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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