Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 23:40

Hello ami Gay

Comment ça va ?

J'espère que tu vas bien et que tout se passe comme tu veux.

Pour moi, ça ne pourrait pas aller mieux. J'ai passé la plus belle journée de ma vie et j'espère que ce n'est que le début d'une longue série.

Mon petit coeur était particulièrement resplendissant aujourd'hui et nous avons enfin pu donner libre cours à tous nos fantasmes durant tout l'après-midi. Après plusieurs semaines d'attente, on n'y tenait plus. Ce fut un vrai délire, un déluge de plaisir et de câlins. Le diable, il sait y faire et cela me plaît beaucoup. J'en étais déjà bleu, j'en suis fou. Je suis sur un petit nuage. Pourvu que ça dure le plus longtemps possible.

Mais, assez parlé de moi. Revenons-en aux choses importantes.

Les vacances terminées, il faut reprendre les cours.

Pour cette leçon, il faut quelques accessoires. Rassure-toi, tu n'auras pas de gros frais à faire, c'est 100% naturel et on trouve ce qu'il faut dans toutes les supérettes.

Avec mon petit coeur, nous avons essayé le melon à deux trous cet après-midi. on s'est marré comme des fous. Pour retrouver la leçon que j'ai mise en primeur sur le blog, il te suffit de cliquer ici.

Philippe m'a envoyé une petite suite à l'histoire d'hier. Je te la propose aujourd'hui. Quand je l'ai reçue, je l'ai lue la main sur la queue ...

En rentrant chez moi, je ne faisais que penser à ce qui c'était passé avec Benjamin. Et au lieu de faire mes devoirs, je repensais à ses yeux brillants de plaisir pendant qu'il me suçait. En pensant à ce moment, je sentait ma queue chaude et gonflée à l'étroit dans mon caleçon. Alors je commençais à  la caresser à travers mon jeans. Puis n'y tenant plus, j'enlevais mon pantalon, et le passais ma main sur ma tige à travers mon calbut, mon zob gonflait encore. J'attrapait mon gland par l'ouverture au niveau de ma cuisse, mon gland humide roulait dans mes poils. Puis j'otais mon calcif, et prenais ma queue à pleine main. J'accélerais mes va et vient, tout en caressant mes couilles. Toujours un peu plus vite, un peu plus fort, un peu plus loin. Le plaisir commençait à monter alors je continuais sans aucune pause ni ralentissement. Je m'allongeais sur mon lit, en continuant ma masturb. Je sentais la sève monter, puis exploser sur mon torse. J'étais bien, je pensais à benjamin. Après avoir repris mes esprits, je partis sous la douche pour laver mon foutre. Afin de nettoyer mon sperme de ma peau et poils, je pris du gel douche, qui se mit rapidement à mousser. Ah, la mousse, forcément cela me refit bander illico. Alors je saisis de nouveau ma queue à pleine main, et la branla fortement. Je sentais bien que mes couilles étaient vides. Je m'étais déjà masturber le matin au réveil comme d'habitude, puis j'avais joui avec Benji, éjaculé il n'y avait pas 5 minutes et je remettais ça de nouveau. Mais la force de mon poignet, et ma persévérance me permirent d'extraire des jets de ma précieuse semence.
J'avais mon gland brulant à force de le manipuler, mais j'étais bien. J'allais pouvoir dormir en pensant à Benji. Je pouvvais oublier les manequins de la Redoute. Le lendemain matin je sentais ma tige chaude et raide sur mon ventre. Je partis immédiatement sous la douche pour mes travaux manuels préférés, du foutre tout frais jailli de ma teube. La journée pouvait commencer.Je ne faisais que de penser à Benji, je ne regardais même plus mes petits camardes. Ce n'est pas tout à fait vrai, car julien et Greg ne me laissaient pas indifférent. Mais actuellement ne comptait que Benji.
J'avais sport le mardi et le jeudi. Et pour atteindre jeudi prochain, cela me paraissait interminable.
Enfin, c'est Jeudi: Je choisis mon plus beau boxer noir en lycra bien moulant, qui me dessine un si joli paquet et me fait un beau petit cul. Je l'enfile, puis je me ravise. Tout d'abord me branler. Je suis trop excité à l'idée que j'ai sport aujourd'hui. D'ailleurs je me branlerai à la pause du midi (et à entendre les gémissements dans la cabine d'à côté je ne suis pas le seul : le beau greg de la 3°3 qui me fait triquer s'adonne donc lui aussi aux plaisirs solitaires).
Le cours de sport arrive, toujours en fin de journée : 1 heure de footing.
J'entre dans le vestiaire à ma place habituelle, c'est à dire dans l'axe de vue de Benji. Il est là, et me regarde souriant. Je commence par me désapper doucement. Ce n'est qu'une fois que je suis en boxer, que je comence à sortir mes affaires de mon sac. Ainsi, je peux mieux faire admirer mon corps. Je m'aperçois que je suis de plus en plus exhib. Je passe ma main sur mon boxer au niveau de ma tige qui commence à triquer. Je remarque que Benji me mate, nos regards se croient : il me fait un clin d'oeil et me sourit. Je suis fier de moi. Certains de mes petits camarades me matent, il faut dire que je ne me cache pas. Le spectacle de mon corps est gratuit, si cela peut faire plaisir à ces  puceaux qu'ils se rincent l'oeil, ce soir ils pourront se branler en pensant à moi. Je sors du vestiaire avec les autres éléves. Je passe la porte juste devant Benji, je sens ses mains qui me caressent rapidement le cul. L'heure de footing calme mes ardeurs, et  me permet d'arréter monentanément de bander, mais cette heure me parait interminable.
Puis c'est le retour au vestiaire, je trouve que mes camarades sont très longs pour s'habiller. Et j'ai beau trainer, il faut que je m'habille aussi si je ne veux pas rester sans rien faire.
Ah enfin seul. Quelques minutes plus tard Benji entre : il est encore en tenue de sport, tee-shirt mouillé de sueur et short. Des poils dépassent de son maillot, et je peux admirer ses cuisses puissantes. Je bandais depuis que nous avions regagner les vestiaires, mais là je sens ma queue qui se comprime dans mon boxer. Moi, je suis en jeans, la chemise ouverte qui laisse apparaitre mon torse qui commence à être bien dessiné et sur lequel des poils commencent à pousser.
Benji s'avance vers moi, il m'enlasse et nos têtes s'approchent. Il me roule une pelle, nos bouches s'accouplent, nos langues échangent nos salives. Avec ses mains, ils me caresse les cheveux, le dos, la nuque, les pecs, le ventre. Il passe ses doigts sur ma tige en érection, et me dit  "humm, toujours en grande forme".
Je lui caresse son dos, descend sur son cul ferme et bonbé. Tout en continuant de l'embrasser. J'explore  son entrejambe, mes doigts s'avancent dans les poils de ses cuisses viriles. J'effleure ses couilles grace à la largeur de son short au niveau des cuisses. Je remonte sur sa queue que je sens aussi dure que la mienne. Je lui réponds donc "Ce n'est pas mal non plus, vu ce que je sens sous les doigts. Puis il s'assied sur le banc juste devant moi, et me dis "allez déshabille-toi".
J'enlève doucement ma chemise, puis je dégraphe un à un les boutons de jeans laissant apercevoir l'élastique de mon boxer. Et je fais glisser doucement mon pantalon sur mes chevilles. Je passe ma main sur mon boxer derrière, devant, lelong de l'élastique. On voit très nettement que ma queue est superexcitée. Benji matte à tout va, il passe sa langue autour de ses lèvres. Il tend les mains pour me caresser le torse. Parallèlement, j'enlève mon boxer, ce qui libère mon zob. Ma tige est bien droite, toute
veinée, avec son gros gland décalloté à fond. Puis nous échangeons nos places, il est debout devant moi. Il ote son tee-shirt et essuie avec la sueur de son torse. Il se caresse les pecs, les abdos, continuant de passer sa langue sur ses lèvres. Puis d'un coup sec, il abaisse son short sous lequel il ne porte rien. Je peux donc admirer sa belle queue d'un beau calibre. Bien droite, avec un gros gland violacé, de grosses couilles pendantes rasées. Il s'avance, sa main droite se pose sur mon torse, descend sur mes abdos, et il m'attrape ma tige à sa base. De l'autre main, il me caresse doucement les couilles. Puis commence à me branler, en disant "elle est belle ta bite, tu verras plus ça ira et plus elle fera des malheurs". Il continue de me branler, en avançant sa tête vers mon gland. Il sort sa langue et le nettoie de toute sa mouille par des petits coups habiles, qui me font gémir de plaisir. Puis il happe ma tige sur toute sa longeur. Ma queue toute chaude dans sa bouche confortable me fait frétiller. Il continue à me sucer en se mettant à genou. Sa bouche s'enfonce, se retire, repart,revient sur toute la longueur de ma tige. Il accélère. Ses mains caressent mes pecs, me pincent les tétons, descendent sur mes abdos, me palpent mes couilles, les pressent, les caressent, passent dans les poils de mes cuissess. Et il continue toujours à me sucer, à lécher mon gland, à me biberonner. Quand il voit que le plaisir est trop intense il ralentit, il suce mon gland tout autour, s'attarde sur mon frein. C'est magique. Pendant qu'il me suce, il se branle à pleine main. Quant il sent que le plaisir est trop intense, il ralentit la cadence, donne des petits coups de langue autour de mon frein joue avec mon frein. Puis il accélère de nouveau, je
sens que mon gland explore le fonds de sa gorge, que sa langue tourne et retourne sur mon zob. Et de nouveau il alterne avec plus de douceur. Je suis bien, et sens bien que cette fois-ci je ne vais pas jouir dès le premier coup de langue. Il passe ainsi longtemps du chaud au froid. Puis il me dit "détends-toi, lache-toi". Alors il ne fait plus qu'accélerer, toujours plus vite, toujours plus loin, toujours fort, encore et encore.  D'un coup je sens mes jambes trembler, mon pouls s'accélerer, mon torse se redresser, des cris incontrolés sortent de ma bouche. C'est de plus en plus bon. La sève monte jusqu'à être explusée par des jets puissants et abondants. Il continue à aspirer et à avaler. Je continue d'éjaculer. En même temps, il me caresse les couilles avec délicatesse. Il relève sa tête, sa bouche dégouline de foutre. Il continue à me branler et j'arrose mon torse de mon sperme.Quelques jets vigoureux viennent s'écraser sur ma gueule. Je n'en peux plus : quel pied. Cette fois-ci, je suis bien décidé à m'occuper de lui. J'ai un peu peur : vais-je être à la hauteur, vais-je savoir sucer, vais-je aimer ça. Je me lève. Je suis debout devant lui. Je l'embrasse. Je lui lèche le tour de la bouche pour le nettoyer de mon sperme. Il me dit alors " je me doutais bien que tu étais un garçon chaud et vicieux". Puis je le fais asseoir, je m'agenouille, glisse ma tête entre ses cuisses viriles. Je sors ma langue et commence à explorer son gland. Je tourne tout autour, je lèche toute sa tige, puis commence à essuyer la mouille. J'avale sa grosse queue toute entière. J'en ai plein la bouche. Elle est bonne et chaude et si dure. Avec mes mains je caresse ses jambes, ses cuisses, ses pieds, je fais rouler ses couilles sous mes doigts, je passe sur ses abdos fermes, et dans les poils de son sexe. Je continue à la biberonner et y prends du plaisir. Je varie la vitesse, l'enfoncement, les parcours, et donne beaucoup de salive pour toujours mieux glisser. Puis il pose ses mains sur ma tête, et me l'enfonce doucement sur sa tige. Je n'y avais pas pensé tout à l'heure. Mais il a l'air de mieux controler son plaisir et cela m'aide pour les mouvements aller/retour. Puis ses mains accélèrent la cadence. Ma bouche coulisse de plus en plus vite. Je l'entends gémir "c'est bon, tu suces très bien pour une première". Je sens ma bouche s'innonder de son sperme, le liquide chaud emplit ma bouche, et me dégouline à mon tour sur le menton il libère ma tête et continue de jouir sur son torse pendant que je continue à le branler. Il n'en peut plus à son tour. Je lui étale son foutre sur les pecs et les abdos. Je sens son corps encore frétiller sous mes doigts. Il me sourit et dit "Quand je pense qu'en début d'année, je croyais que tu étais un garçon timide". Aller, je lance le signal pour aller sous la douche. L'eau chaude coule sur nos corps. Be,jamin prends du gel douche dans ses mains et me savonne le torse. La mousse ne tarde pas à produire son effet habituel sur moi, je me mets à rebander. "Et bien Philippe tu es un garçon gourmand et vigoureux, tu me diras ce n'est pas fait pour me déplaire". En disant ces mots, je vois la queue de Benji qui commence à gonfler et à durcir. Je l'attrape dans mes mains et la branle doucement avec du gel douche. La mousse aide à faire glisser mes doigts. Benjamin fait de même avec la mienne, et nous nous embrassons vigoureusement. Puis je me mets à genou et le suce à nouveau
 -"je vois que tu prends des initiatives, cela me plait de plus en plus".
Je lèche sa queue, ses couilles, son gland, je les avale, les suce. Puis Benji fait de même avec ma tige, c'est toujours aussi bon. Benji me dit
 -"on jouit ensemble".
La seule solution : la branle. Chacun à donc en main la queue de l'autre, et la fait coulisser sous ses doigts pendant que l'autre main explore le corps de l'autre. Benji dit
 -"on y va".
Alors, nos poignets accélèrent, notre souffle aussi, et nous éjaculons ensemble avec les mêmes subresauts. Nous tombons dans les bras l'un de l'autre, l'eau coule toujours sur nos corps. Nous pouvons terminer réellement notre toilette. Nous nous rhabilllons. Nous embrassons à pleine bouche avant de nous quitter.
 -"A bientôt benji".
 -"A bientôt Philippe".
Vivement le prochain cours de sport.


Alors, qu'en dis-tu de cette histoire ? Tu aimes ? Elle t'excite ? Dans ce cas, retrouve la suite des aventures de Philippe sur le blog qu'il vient d'ouvrir.

Hot Gay Hom

Et maintenant, pour ne pas déroger à ce qui devient une tradition, le petit lien vidéo que tu attends. mate bien puis reviens me dire quel est celui que tu préfères.

Vidéo

A la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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