Benjamin

Bonjour ami Gay

Comment s'est passé le week-end ? Bien, j'espère. Le mien a été super. Surtout l'après-midi d'hier. Je suis un peu fatigué mais super remotivé pour une nouvelle semaine de travail.

Je voudrais remercier les 315 visiteurs d'hier qui ont laissé de nombreux commentaires. C'est vraiment sympa : pas un bonjour ou un merci ! Va voir, c'est vraiment encourageant.

Non, j'exagère. Il y a quand même un mot bien gentil que Gédé à mis dans la nuit de samedi à dimanche. J'espère qu'il m'accepera rapidement dans son groupe FOTOCHO-ZINE.

Aujourd'hui, je te propose une histoire un peu chaude, trouvée sur le site BFG2006 que je t'invite à visiter.

Benjamin

Benjamin a tout juste 18ans. Encore timide et vierge, mais décidé à vivre enfin son homosexualité, il a répondu à une annonce sur le net d’un type qui cherche la prise en main d’un jeune puceau. Blond, musclé, bien foutu, jolis yeux bleus, un sexe non circoncis d’assez belles dimensions : Benjamin connaît ses atouts et ne doute pas qu’il va plaire…..

Arrivée chez le mec : Benjamin sonne. Un type ouvre, la trentaine, mais il n’est pas seul. Benjamin est happé violemment à l’intérieur par des bras puissants et musclées. Une main est plaquée sur sa bouche, d’autres le tâtent, le palpent, le caressent dans le dos, le cou, l’entrejambes, le déshabillent….d’autres bras l’empêchent de bouger, l’immobilisent. Puis les choses s’accélèrent. Benjamin veut crier, se débat, mais il est poussé vers un lit sommaire, juste un matelas en fait. La pièce est sombre, rideaux fermés. Sur le ventre, mains menottées dans le dos, ses cuisses et ses fesses fermes et lisses sont exposées. Il proteste. Baffe. Puis chiffon dans la bouche, bandeau sur les yeux et bâillon….

Benjamin est piégé. Il entend des grognements satisfaits, des respirations qui s’accélèrent, le glissement de vêtements qu’on enlève, le bruit mouillé de bites qu’on astique…..mais combien sont-ils…

Premier mec. Se fout à plat ventre sur Benjamin, en bougeant son bassin, mimant la sodomie et écrasant sa victime. Langue baladeuse, succion dans le cou, bite raide qui se fraye un chemin dans la raie du cul, moelleuse, chaude et humide, du garçon. Deux corps qui s’agitent, l’un pour échapper, l’autre pour plaquer, soumettre.

Deuxième mec. On relève la tête de Benjamin. Le premier mec s’assied sur le dos du garçon et par derrière le soulève par les épaules. Le deuxième est assis en face de la bouche de Benjamin. Puis l’odeur d’un bite monte aux narines de benjamin. Une odeur forte, enivrante, excitante, de mec qui veut baiser. L’étreinte des épaules se relâche. Sa bouche descend, et rencontre le sexe. Le bâillon est enlevé. La bouche tente d’éviter ce viol….une baffe s’abat sur son joli visage d’ange, en guise d’avertissement. Des doigts s’introduisent dans la bouche de benjamin, la fouillent, tâtent la langue, la gorge.  La salive lui coule du menton, et sur la bite du mec. Soudain une main vient enfoncer sa tête sur le pieu raide et humide. Le garçon ne maîtrise rien. Sa tête est prise et forcée à bouger sur le membre qui lui fourre la bouche.

Troisième mec. C’est surtout une langue que Benjamin sent. D’abord discrète, la langue s’insinue dans son entrejambe, lui fouille le trou, puis lèche les couilles et le bas de sa queue plaquée contre le matelas. La partie la plus intime de sa personne est livrée à cette langue humide qui le mouille. Puis la langue s’attarde sur le trou de Benjamin, dont la queue raidit, branlée entre son corps et le tissus du lit. Ses fesses sont écartées. Crachats dans sa raie puis langue obstinée qui lèche, s’enfonce dans son fion. Benjamin gémit. Sa bouche et son cul sont offerts…..

Soudain tout change. Le garçon blond est retourné, sur le dos. Seul reste le bandeau. On le détache mais deux mecs lui tiennent les bras et les jambes. Sa queue, raide, chaude, humide, est exposée. Benjamin se sent humilié mais son envie de jouir est la plus forte. Une main frôle son gland, lui caresse le bout sensible et lui tire des gémissements. De la salive coule sur son membre, étalée par une main experte qui lui masse la tige. Puis une bite, plus grosse que la précédente, lui remplit la bouche à nouveau. Une bouche lui suce les tétons, les aspire, lui mordille le bout. Benjamin sursaute, comme électrisé par de courtes décharges. Son corps a des soubresauts. Sa bite grossit, réclame….

Sans qu’il s’y attende, on lui relève les jambes. La douleur est insoutenable. Malgré la préparation de son cul, la bite qui lui pénètre d’un coup les entrailles le fait crier. Sa voix est étouffée par la bite qu’il suce. Cris, pleurs. Mais aucune pitié. La bite commence, accélère. La douleur est forte. Benjamin se rend, sanglote,  mais ses cuisses sont maintenues ouvertes, et la bite s’enfonce au fond, le plus loin qu’elle peut. Ses bras non plus ne lui sont d’aucun secours, écartés et solidement maintenus sur le matelas. La bite se fait plus insistante encore, mais la douleur s’estompe, fait place à une chaleur soutenue, qui irradie depuis son trou jusqu’à ses couilles et sa bite. Une bouche vient furtivement la lui sucer. Benjamin gémit, apprécie. Puis c’est un cul qui s’ouvre sur sa queue et descend, lentement, s’empalant au rythme des secousses que subit Benjamin de la bite qui le baise.

Le garçon est à eux. Pas un endroit de son corps qui ne soit pris en main. Les halètements augmentent, les bites durcissent encore. Soudain un cri : la bouche de Benjamin se remplit de foutre chaud. La bite du mec nage dans la salive et le sperme. Le mec se laisse tomber, maintient la tête de Benjamin en se laissant tomber sur lui, sa bite gluante toujours dans sa bouche. Benjamin n’en peut plus. Deuxième cris. La bite qui lui lime le cul s’enfonce le plus qu’elle peut et décharge aussi. Le cul du garçon se remplit. Le liquide chaud se répand, lui innonde les entrailles. Benjamin craque. Son corps a des spasmes. Il se lâche et crie, crie encore, la bouche pleine, en se vidant dans le cul qui entoure sa queue et qui se contracte. Sa queue explose et n’en finit pas de se vider. Des jets de sperme innondent le corps de Benjamin. Le garçon est trempé, mouillé de sueur et de jute. Le jus coule de sa face sur le matelas, lui coule du cul, du torse. Une dernière décharge vient lui inonder le visage, coulant dans ses cheveux. Une bite à demi raide lui frappe le visage, battant le jus qui finit de se répandre sur se face….

Après quelques instants, Benjamin est laissé seul sur le matelas, à bout de souffle, trempé. Puis des bouches se collent à lui, le lèchent , le nettoient, l’embrassent. Cinq, six bouches, Benjamin n’en a aucune idée. Puis on le soulève, on lui passe un à un ses vêtements, on l’habille, la porte s’ouvre. Benjamin est sur le palier. La porte se referme. Plus que le bandeau à retirer…

Cette histoire est signée par un certain  Nico. Est-ce celui que je connais, le Nico de Photo Gay ? Je n'en sais rien. Il nous le dira peut-être.

En tout cas, je ne peux que te conseiller, si tu ne l'as pas encore fait, d'aller rendre une petite visite sur son blog. Il n'y a que de très belles photos de beaux garçons. En plus, si tu t'inscris à sa 'Newsletter', tu auras accès à des centaines de belles photos de mâles plus bandants les uns que les autres.

photo.gay

Petit indice pour les masturbateurs intellectuels qui n'ont pas encore trouvé tous les mots de l'Alphabit.

Ne te décourage pas. Ce n'est pas la fin des 21. Avec les flageolets, tu feras un excellent cassoulet.

Je termine avec la petite branlette du jour

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