Histoires

Mercredi 30 août 3 30 /08 /Août 00:42

Hello, ami du blog

La petite histoire chaude d'aujourd'hui va peut-être faire regretter à certains d'être nés trop tard et de rater la belle aventure du service militaire. Va-t-elle rappeller à d'autres d'heureux souvenirs ? Personnellement, je doute que la vie sous les drapeaux soit aussi rose que cela, mais laissons place aux fantasmes. Autant rêver un peu.

Une journée comme une autre à l'armée

Bonjour, je suis le caporal infirmier Philippe. Philippe, c'est mon prénom, ça facilitera nos relations. J'ai 23 ans et je suis un appelé comme vous le serez vous aussi très bientôt. Je vous prends en charge à partir de maintenant. J'espère que le film sur la nécessité d'une Défense Nationale vous a convaincu et que vous avez apprécié la métaphore sur les piquants du hérisson. Nous allons maintenant passer la visite médicale, mais auparavant prendre une douche qui, je le rappelle, est obligatoire. Pour cela nous allons nous rendre dans le bâtiment qui est de l'autre côté de la cour. Je vous demanderais de vous mettre dans un semblant de rang par deux, sinon je me fais engueuler par ma hiérarchie et je n'aime pas trop ça. Allez, on y va.
Mon discours est bien rodé. En général, à part un ou deux qui ont besoin de faire chier et font exprès de traîner la patte, tout le monde suit en groupe. Pour aller à la douche, je n'échappe jamais aux râles des mécontents ou aux rires des imbéciles, mais ça n'a aucune importance, car on ne leur demande pas leur avis.
Et pourtant si, moi je leur demande leur avis.
La douche est, comme je l'ai dit obligatoire, mais grâce à moi et à mon incommensurable bonté, vous pouvez y échapper. Nous allons faire deux groupes à ma droite les volontaires, à ma gauche les récalcitrants. Deux personnes seulement à ma gauche ? Attendez, je vous parle, je n'ai pas à faire à des demeurés. À ma droite, ceux qui veulent aller à la douche, à ma gauche, ceux qui veulent ne pas aller à la douche. Ceux qui restent en face de moi la bouche ouverte iront à la douche tout habillé. Ah, ça réagi un peu. Bon donc quatre volontaires sur 22. Je vous fiche mon billet que dans trois minutes, ce sera l'inverse.
Je ne sais pas pourquoi, mais les trois jours paralysent la plupart des jeunes. Certes, nous sommes en province, certains jeunes quittent leur foyer familial pour la première fois. L'univers de la caserne est intimidant. Et ils pensent, sans doute à juste titre, qu'ils ne sont pas là pour réfléchir, mais de là à bloquer toute réflexion un tant soit peu personnelle. Enfin, c'est à chaque session la même histoire, il me faut dégeler ces garçons.
Alors maintenant je précise : ceux qui n'ont pas pris de douche ce matin passent à ma droite, qu'ils le veuillent ou non ils passeront à la douche. Je ne veux pas me faire engueuler par le médecin chef qui vous examinera. Bon, huit de plus, ça nous fait 12 volontaires, on y arrive. On va tâcher d'augmenter encore un peu ce nombre. Pour voir si vous ne m'avez pas menti, je vais sentir vos aisselles. Hé oui, messieurs, ça se passe comme ça à l'armée. Ceux qui puent auront à faire à moi. Vous avez une chance d'éviter le test en passant à ma droite. Sept de plus, le compte commence à devenir intéressant. Bon commencez à vous déshabiller, je m'occupe des récalcitrants.
Les mouvements de masse se font toujours dans des rires gênés, mais tout cela reste bon enfant.
Comment ? Non jeune recrue, il n'y a pas de vestiaires privés. Tout le monde à poil.
Ces jeunes ont tous à peu près 18 ans et beaucoup se mettent nus pour la première fois devant les autres. Il faut à tout prix éviter que leur pudeur naturelle s'exprime, un ton convaincu suffit. Mais c'est surtout le fait d'être en groupe qui les désinhibe. Ce passage est important car tout à l'heure, à l'inspection médicale, ils seront nus et seuls, il me faut donc les mettre en condition de l'accepter sans heurt.
Vous les cinq, vous vous mettez torse nu et vous levez les bras. Bon, toi tu te fous de ma gueule, tu as les poils des aisselles collés par la crasse, tu as 30 secondes pour te retrouver sous la douche.
J'adore sentir les aisselles, mais il y a des limites à l'exercice. Ceux qui acceptent le test sont parmi les garçons les plus intéressants. Les demeurés et les trop timides ne prennent jamais de risques. Il reste les propres et les effrontés. Ces derniers réussissent ou non le test, ils se rhabillent ou passent à la douche. Je n'ai encore jamais eu de cas d'insoumission. Les fortes têtes n'arrivent jamais jusqu'à moi.
Je reconnais que cette sélection par l'aisselle n'est pas dans l'orthodoxie militaire, mais le médecin chef ne me demande qu'une chose : lui présenter nos futurs bidasses dans des conditions d'hygiène optimum. Tant qu'il n'y a pas de plaintes, les conditions pour y parvenir sont laissées à ma libre appréciation.
Aussi propres soient-ils, chacun laisse une odeur que j'adore sentir. Certains gars me font immédiatement bander lorsque leur physique s'accorde avec les effluves qu'ils dégagent. Une odeur virile de musc mais douce. Mes narines testent d'abord à petites doses pour traquer la forte odeur, mais lorsque la transpiration est récente et n'exhale que la suave expression corporelle du jeune garçon, alors mes poumons s'emplissent à longs traits. Cette odeur n'est que l'expression préliminaire de celle diffusée par l'aine. Ce sont ces phéromones que mes narines traquent. Cette odeur de sexe qui vous fait chavirer définitivement. Bien sûr, mon sexe se gonfle aussi rapidement que mes poumons. Heureusement que le treillis serre bien. Je mettrais bien certains de ces garçons sous la douche pour les admirer, mais je tiens mes promesses et, de toute façon, ils ne perdent rien pour attendre.
Non, Monsieur, il n'y a pas de douche privée. Vous êtes à l'armée ici. Hou Hou ! on se réveille. Décidément, vous avez un problème pour vous montrer à poil. Si j'étais vous je n'insisterais pas trop. Vos camarades risquent d'être intéressés par ce que vous voulez nous cacher.
La pièce des douches de la caserne forme un long couloir avec des douches à droite et des douches à gauche. Rien d'original donc, mais cela me permet d'arpenter de long en large celle-ci pendant que mes petits jeunes se décrassent. J'admire là autant leur corps que leur posture. Ces garçons se cachent, s'affichent ou s'en fiche. Ceux qui se montrent sont autant là pour faire part d'une virilité qu'ils ont dû cacher que pour découvrir d'autres corps masculins. Un coup d'œil sur ces attitudes me permet déjà de faire quelques sélections pour plus tard.
Bon, pendant que vous prenez votre douche, je tiens à vous signaler, pour ne pas vous prendre en traître, que le médecin chef m'a confié une mission qui ne l'intéresse pas vraiment. C'est de déterminer, parmi vous, ceux qui ont des orchites, des phimosis et des MST. Ce contrôle est obligatoire. Je rappelle pour ceux qui sortent de leur campagne que nous sommes tous censés avoir deux boules. Ceux qui n'en ont pas, ou qui n'en ont qu'une, risquent d'avoir de sérieux problèmes de santé, et c'est à moi de vérifier cela. C'est cela qu'on appelle une orchite. Pour les phimosis, c'est, pour ceux qui ne sont pas circoncis, quand la peau du sexe coulisse mal. On n'en meurt pas, mais ça peut poser des problèmes de douleurs dans les rapports sexuels et traumatiser certains d'entre vous. Oui, messieurs, il est du rôle de l'armée de vérifier cela. Quant aux MST, les maladies sexuellement transmissibles, elles ne sont pas toutes visibles à l'œil nu, c'est pour cela que vous répondrez à un questionnaire que je vous donnerais.
Ce genre de petit discours fait son effet, les plus pudiques se renferment sur eux, prenant bien soin de cacher leur sexe tout en essayant de se laver avec la savonnette parfumée offerte par le ministère de la Défense Nationale. Certains commencent à bandouiller. Ceux-là, pas de problème, qu'ils le veuillent ou non, seront carrément bandants pendant que je les examinerai d'une main experte. Un régal en perspective.
Je fais mon marché tout en leur parlant. J'admire leur beauté plastique, mais je regarde surtout ceux qui me laissent quelques chances. J'élimine d'office les imbéciles heureux et les faibles en esprit. Ils sont malheureusement légion par ici. Même s'ils sont beaux et même si je sais que je peux les avoir sans problème. Ce serait un viol et ça ne rentre pas dans mon éthique personnelle. Je ne m'autorise aucune faiblesse. Ce que je préfère, ce sont les volontaires, ils sont faciles à avoir. Contrairement à certains qui aiment la difficulté et contrairement à mon statut actuel d'appelé, je n'aime pas me battre. J'aime aussi ceux qui aimeraient bien tenter la chose mais qui n'en ont que vaguement conscience. Ce sont des hétéros à qui il manque simplement des éléments de comparaisons pour être bien dans leur peau d'hétéro. Ceux-là, en général, n'en perdent pas une miette sous les douches. J'aime enfin les homos refoulés qui n'attendent qu'un signe du destin pour se défouler. Ces deux catégories de jeunes là sont plus délicates à manier, mais ils vous apportent beaucoup de satisfaction. Ce n'est pas tous les jours qu'on dépucelle des garçons. En règle générale, ils ne vous posent pas de problème, ils sont hyper heureux que vous les ayez aidés à découvrir leurs corps en comparaison de celui des autres pour les uns ou de leur inclinaison pour les autres.
On se sèche, grâce aux douces serviettes souplinées gracieusement mises à votre disposition par le ministère de la Défense Nationale et on se rhabille au trot. Je rappelle que ces serviettes sont mises à votre disposition, elles ne vous sont pas offertes. Il est inutile de les mettre dans votre sac, par contre vous êtes fortement conviés à les mettre en vrac dans les paniers en osier qui sont près de la sortie. Je veux voir un mec, une serviette, c'est compris. Toi qui n'a pas pris de douche, tu fais le malin encore une fois et je te botte le cul. On verra si tu es toujours aussi drôle une fois à poil devant moi. Bon, voilà comment ça se passe, on va retraverser la cour, donc en rang par deux. Ensuite je vous transmettrai un questionnaire médical que vous remplirez dans la salle d'attente. 


Bon, les gars, je vous appelle par ordre alphabétique, pour retirer votre questionnaire. Les quatre premiers entrent dans les quatre cabines d'attente. Elles ont une double porte et donnent de l'autre côté sur la pièce d'inspection. Je vous prendrais un par un. Dès que l'un d'entre vous a terminé, il se rhabille et laisse la cabine au suivant jusqu'à ce qu'il n'y ait plus personne. Vous avez compris ? Je n'ai pas besoin de vous donner la main ? Voici en plus un questionnaire rose sur vos habitudes sexuelles. Il est anonyme et il n'est pas obligatoire, mais il serait utile que vous y répondiez. Bon le premier, dès que tu es prêt, tu rentres. Pour les suivants, c'est moi qui ouvrirais la porte. OK ? Tu dis ? Ah oui, vous vous mettez en slip ou à poil, ça n'a pas d'importance, conservez vos chaussettes, le sol est carrelé.
Le questionnaire médical n'a pas d'intérêt pour moi, il sera épluché par le médecin. Le rose, par contre, est de mon invention. Il n'est pas vraiment anonyme puisque numéroté est distribué par ordre alphabétique. Il me sert à compléter mon information sur les garçons. Après la vraie visite médicale, je récupère mon petit monde pour assigner à chacun la chambre dans laquelle ils vont dormir. Les célèbres trois jours durent en fait une journée et demie. Bien, souvent les garçons viennent d'assez loin, on les loge donc pour la nuit. Et la distribution des chambrées ne doit rien au hasard.
Je fais entrer le premier garçon. Le pauvre est bien laid et il va avoir la chance d'échapper à une enquête minutieuse.
Montre-moi tes testicules. Tu en as bien deux ? Pas de problèmes ? Fais coulisser ta peau sur le gland. Pas de problème lors de tes relations sexuelles ?
Le pauvre n'a pas le temps de répondre, d'ailleurs je doute qu'il ait de quelconques relations vu son physique. Je le raccompagne à la cabine et ouvre la seconde porte.
J'attends ce second garçon avec impatience. Je l'ai remarqué sous la douche. Il semble fier de son appendice et serait légèrement exhibitionniste. Ce garçon en question n'est pas très grand. Il est fin, son visage, doux, porte une frange couleur miel qui cache des yeux de chats. Sa musculature, presque invisible, est très ferme. Et un sexe… qui n'a rien à voir. On dirait même qu'on lui a plaqué sur le pubis un sexe de camionneur. Autant sa peau est blanche et douce, autant son sexe est veiné et d'un rose soutenu. Et d'une taille… impressionnante. On a l'impression que le garçon est en constante semi-érection. Cette dualité lui donne un côté pervers. Je lui flatte les couilles qui sont à l'image de son sexe, démesurées et splendides.
Pas de problème sexuel ? Bon, je vois que tu entres en érection, ne t'angoisses pas, c'est très naturel. Ça arrive souvent ici. D'ailleurs ça va nous faciliter la tâche pour voir si ta peau coulisse bien. Normalement, on ne devrait faire ce test qu'en état d'érection, mais bon, on ne va pas obliger tout le monde à bander. La taille de ton sexe ne te pose pas trop de problème d'intromission ?
Pendant que je le caresse doucement sous prétexte de faire coulisser le prépuce, une gouttelette sourd de son méat. Je fais des efforts démesurés pour ne pas la lécher. Je frotte "accidentellement" son sexe sur mon avant-bras pour la récupérer. Je dois avouer que je fais un effort particulier pour me retenir car une odeur suave, véritable appel de séduction, commence à se dégager de son corps. J'ai envie de tenter le tout pour le tout car le garçon n'est pas farouche.
Tu as de nombreux rapports ? Avec des partenaires différents ? De sexe masculin ou féminin ?
Le garçon répond oui aux deux premières questions et rougit à la troisième.
Tu t'intéresses aux garçons, j'espère que tu te protèges bien. Tiens voilà un préservatif, montre-moi comment tu l'enfiles…
C'est bon, mais tu devrais penser à pincer le bout du préservatif pour laisser la place au sperme quand tu éjacules. Attends, je vais te montrer
comment on fait.
Le garçon se laisse faire, mais son sexe est tellement énorme que je n'arrive pas à faire glisser le préservatif.
Je n'ai jamais vu un engin aussi gros, ça ne te pose pas de problème ?
Évidemment, je profite d'essayer de lui enfoncer le préservatif pour faire courir mes doigts un peu partout. Je lui tiens les bourses, lui enserre le manche de mon autre poigne. Et je fais mon possible pour ne pas craquer.
Peut-être que vous pourriez me le montrer sur vous, me suggère le gamin.
Je le regarde ahuri.
Tu as raison, j'ai une bite d'une taille un peu plus standard que la tienne. Je me débraguette rapidement, laissant exploser mon sexe hors de mon treillis. Le mettre à l'air est déjà une jouissance en soi, tellement il souffrait de sa contention. Le montrer fièrement au garçon est une autre jouissance. Je touche au bonheur.
Tiens prend un préservatif et essaie sur moi. Le garçon se met à genou, essaie maladroitement, se rapproche pour mieux s'appliquer et envoie balader le bout de plastique rose. Il enfourne ma queue et me suce en longues bouchées rondes et profondes. En deux minutes, j'explose. J'aurais pu me retenir, mais mon temps est limité. Je me rhabille et le raccompagne.
Tu dors à la caserne ce soir ? Bon, je te trouverais une chambre tranquille. Un petit coup d'œil à sa fiche, il se prénomme Nicolas.
Pendant que je le raccompagne, je lèche mon avant-bras de son liquide spermatique. Avant d'ouvrir la porte au troisième garçon, je reprend mon souffle et essuie la sueur qui perle sur mon front.
Au suivant ! J'essaie de rattraper mon retard en accélérant, d'autant plus que les garçons ne sont pas tous intéressants, loin s'en faut. Sept ou huit passent à grande vitesse. J'aurais eu un peu de temps, je me serais amusé avec eux, mais ayant joui, l'envie du sexe se fait moins sentir. J'ai vite parlé car un autre garçon réveille mes sens. Il est petit, ils le sont tous dans la région, mais très musculeux avec une large poitrine. Avec sa coupe à la balai-brosse, il fait très mec. Son sexe est à première vue quelconque, mais l'ensemble de son corps qui fait massif m'attire. Je me charge de réveiller ses sens.
Un garçon comme toi doit avoir des rapports depuis longtemps.
Le compliment le fait rougir, il acquiesce. Je lui prends les couilles à pleine main.
Visiblement de ce côté-là tu n'as aucun problème. Tu sais ce que c'est un phimosis ? Non ! Tu n'as pas mal lorsque tu couches avec une fille ? De temps en temps ! Tu as souvent vu des garçons à poil pour comparer ton sexe au leur ? Non ! Écoute, tu serais susceptible d'en avoir un, mais la seule façon de le savoir c'est de bander. Essaie de te caresser. On n'a pas de revues ici. Tu n'y arrives pas ? Ferme les yeux et essaie de te branler. Bon, je comprends que la situation n'est pas très propice. Si tu veux ce soir je réunis les garçons qui veulent comparer leur engin à celui des autres, histoire de se situer. Si tu veux te joindre à nous, on verra ça à ce moment-là.
Je raccompagne le garçon et note soigneusement son prénom, Jérémie. Au suivant ! Je n'arrive pas à sentir certains garçons, soit leur tête est désespérément vide, soit remplie d'idées préconçues à tendance fascisante et homophobe. Ceux-là, je prends particulièrement garde à eux. Les premiers passent on ne peut plus rapidement entre mes mains. Pour les seconds, je dois avouer que je fais un peu durer le plaisir. Je les manipule de façon médicale pour éviter toutes mauvaises interprétations, mais je les laisse un peu traîner face à moi pendant que je suis supposé remplir un dossier.
Je leur pose quelques questions indiscrètes, mais sans aller au-delà de ce qu'il est cliniquement souhaitable de connaître. Moi les fachos, quand ils sont moches, ils me dégoûtent. Quand ils sont pas mal, j'ai envie de les sucer pour les faire chier ou qui sait les faire revenir à de plus tendres pensées vis-à-vis de leurs congénères. Mais ces garçons-là sont de la dynamite qu'il faut manipuler avec la plus extrême précaution.
J'ai quand même réussi à me mettre à poil une seconde fois avec ce groupe de lascars. C'est un garçon qui m'a demandé de façon touchante si son sexe était dans la moyenne.
Écoute à première vue, il me semble très correct, même assez long. Attends, fais voir.
Je lui empoigne le sexe sous prétexte de mieux l'étudier, celui-ci commence à gonfler rapidement.
Bien voilà, tu vois, la taille d'un sexe se mesure en érection sinon il peut avoir toutes les tailles, rabougri quand il fait froid, plus expansif pendant les chaleurs. Moi je le trouve très bien. Il est même un peu plus grand que le mien.
Son visage rayonne. Quoi ? Son sexe est plus grand que celui de l'autorité que je représente ? L'habit militaire ne garantit pas un sexe de taille monstrueuse ? Tout son être m'indique qu'il rêve de voir ma bite. Je lui donne satisfaction.
Tu vois, la mienne est un peu plus épaisse, mais la tienne à un demi-nœud de plus. Approches-toi pour mieux comparer.
Le garçon est devenu cramoisi, on venait de lui offrir le plus beau cadeau qu'il n'avait jamais reçu. Pour compléter son bonheur, je lui permets de toucher mon sexe. Il ose à peine. Je me décalotte, laissant sortir un gland humide et rouge. Le garçon fond littéralement. Il ne sait plus où se mettre. En trois manipulations expertes, je le fais jouir pour qu'il retrouve enfin ses sens. Je le compte parmi nous ce soir. Il s'appelle Olivier.
Le reste des garçons défile, sans incidents jusqu'aux trois derniers qui se sont donné le mot pour bander tous en entrant. Je soupçonne une vieille odeur d'homme régner dans les cabines. Je pense même que certains se sont branlés en attendant, désœuvrés qu'ils étaient. Le mâle, tout hétéro qu'il soit, résiste mal à l'odeur d'un autre mâle. Je soupçonne même que l'homosexualité est enfouie dans les gènes de tout ce qui peut baiser un jour ou l'autre.
Le dernier me montre son sexe érigé comme un pêcheur montre un appât à un poisson. Je ne lui demande même pas la permission pour l'emboucher. En prime, je lui mets un doigt dans le cul qui le fait frissonner. On ne se dit rien, mais j'en profite, en bon professionnel, pour lui faire le check-up complet : deux boules, une peau qui coulisse merveilleusement sous ma langue. Tout va bien. J'adore ce genre de garçon. Il y en a toujours un dans tous les groupes. C'est comme le guignol de service. Lui, c'est le désinhibé de service. Il est particulièrement utile pour détendre l'atmosphère et aider les autres à se mettre à poil. J'inscris d'office Éric dans ma chambrée.

Je laisse la fine équipe au médecin chef avant de les retrouver plus tard dans la soirée. Je garde mes feuilles roses que je vais étudier avec attention.
Philippe, le Capitaine te demande.
Allons bon, les ennuis recommencent. J'ai une certaine liberté d'action dans cette caserne et ça ne plait pas à tout le monde. Je fais des envieux qui essaient par tous les moyens de me coincer.
Asseyez-vous Caporal. Vous êtes chargé des chambrées, or on me signale que celles-ci sont inégalement distribuées. Voici un rapport qui indique que les chambres sont soit occupées par 6 personnes comme il est réglementaire, soit par une, deux, trois personnes.
Vous utilisez plus de chambres qu'il en est rationnellement utile.
Mon Capitaine, depuis le départ de la légion de la caserne, nous avons plus de chambres qu'il nous en faut. Ces garçons font leurs trois jours et ne sont pas encore des appelés. En conséquence, je leur laisse libre choix de se mettre seul, à deux ou à six, en fonction des relations qu'ils ont établi dans la journée. Au réveil, je veille à ce que chacun plie ses draps, fasse son lit et passe le balai. Il n'y a donc aucun travail supplémentaire pour quiconque, que j'utilise quatre ou dix chambres.
On me dit que vous-même partagez votre chambre avec ces garçons, or je vous rappelle que vous, vous êtes un appelé.
Mon Capitaine, depuis le départ de la légion, il n'y a plus aucune distraction. Vous êtes mariés et vivez avec votre femme et vos enfants. Moi, j'ai besoin de pouvoir discuter, échanger des points de vue avec autrui. C'est pourquoi, il m'arrive de proposer aux personnes que je juge les plus intéressantes de continuer à discuter avec moi directement dans ma chambre. Et comme il n'y a que des lits, ils s'allongent pour parler. Après, ils tendent à vouloir rester dormir là où ils sont.
On me signale que les draps de vos "invités" sont très souvent souillés. Vous appelez ça discuter ? Mon Capitaine, ces garçons sont dans la pleine fleur de l'âge. Ce qu'ils font une fois que je suis endormi ne me regarde pas. Je tiens à signaler que tous les draps sont pliés et déposés tous ensemble dans la buanderie. Je ne sais pas par qui, ni comment vous avez reçu cette information. Mais elle m'apparaît comme insidieuse, malsaine, voire diffamatoire. À moins que vous ne soyez à l'origine de cette étude, je ne comprends pas comment vous pouvez vous intéresser et porter foi à de tels ragots.
Ne le prenez pas sur ce ton, mon jeune ami. Je vous rappelle que vous avez encore deux mois à faire ici et que ce n'est pas encore vous qui commandez ici. Et aussi, qu'est-ce que c'est cette histoire d'infirmerie dans laquelle vous passez une demi-heure par jour à l'heure du déjeuner ?
Je souffre d'une maladie chronique qui m'oblige à des soins quotidiens.
Quelle est cette maladie ?
Secret médical, mon Capitaine.
Vous commencez à m'échauffer les oreilles, mon jeune ami. Je pense sérieusement à la corvée de patates, de balayage de cour, et, vous le savez, elle n'est pas petite. J'y rajouterais aussi corvée de chiottes, pour vous rappeler à une certain respect de la hiérarchie.
Mon Capitaine, la maladie dont je souffre est la même que celle du Général, que je rencontre tous les jours à l'infirmerie. Si vous tenez tant à connaître cette pathologie, demandez-la lui.
Bon, je vois qu'on veut jouer au malin, déguerpissez, je ne veux plus vous voir pendant ces deux mois.
Le Capitaine commençait furieusement à m'échauffer les oreilles. Je n'allais pas lui dire que tous les jours je me fais sucer par le Général ce qui me vaut une totale impunité. Un petit rappel de mon intimité avec ce dernier est toutefois nécessaire pour lui clouer le bec. Il n'est pas dupe et ne peut pas faire grand chose, si ce n'est m'embêter de temps en temps par ses remarques on ne peut plus malsaines sur la propreté des draps de mes gars. Toutefois, je tenais enroulées dans mes mains les feuilles roses que j'avais fait remplir aux garçons. Si le Capitaine les avait vues, rien, ni
personne, n'aurait pu me sauver. Mais l'intelligence n'est pas, dans son cas, une vertu militaire.
Dans mes feuilles roses, je pose des questions aussi indiscrètes que :
o Avez-vous déjà eu des rapports sexuels ?
o Si oui, combien ?
o Avec combien de personnes différentes ?
o Vous estimez-vous satisfait de ces rapports ?
o Si non, pourquoi ?
o Estimez-vous votre sexe de taille normale ?
o Si non, est-il plus petit ou plus grand que la moyenne ?
o Avez-vous déjà eu l'occasion de comparer votre sexe avec celui d'autres personnes ?
o Si non, cela vous manque-t-il ?
o Avez-vous déjà eu des pratiques homosexuelles ?
o Si non, vous est-il déjà arrivé de souhaiter en avoir ?
Toutes questions sont noyées parmi d'autres pour rendre le questionnaire plus anodin. Je classe mes feuilles roses par numéro, reprend ma liste alphabétique, écarte les feuilles des garçons qui ne m'intéressent pas. Et j'étudie avec attention les fiches des garçons avec lesquels je pense que l'on peut s'amuser un peu.
J'ai déjà une idée en tête. Nicolas, le garçon au sexe démesuré, je le garde pour moi. Il aura une chambre pour lui tout seul et j'irais lui rendre visite dans la nuit. Les trois autres à qui j'ai eu à faire seront placés dans ma chambre. Il y a Jérémie, celui qui n'arrivait pas à bander, Olivier celui qui voulait voir mon sexe et Éric, celui qui bandait trop bien. Ils serviront d'apéritif. Mais je pense qu'on peut rajouter à la fête deux ou trois autres garçons. Je sélectionne, je sélectionne… Il y a deux autres garçons potables qui ont chacun répondu qu'ils auraient bien aimé connaître la taille de leur sexe par comparaison. Ils m'ont l'air gentil, il y a Ludovic, un garçon un peu bas sur pattes, avec un gros cul, mais une mignonne tête de petit blond Normand. J'écarte finalement le second qui me bottait. Son sexe est vraiment petit, et j'ai peur qu'il se sente complexé et qu'il gêne ainsi les autres. 

Voici les dortoirs, vous vous installez comme vous voulez. Je préfère que vous vous regroupiez par chambrée, mais les misanthropes peuvent choisir une chambre pour eux tout seul. Ils auront un peu plus de boulot demain car il y a corvée de nettoyage de chambre pour tout le monde. Et ceux qui seront seuls, seront… seront ? Seront seuls à nettoyer la pièce. Merci de votre vivacité d'esprit. C'est compris ! Bon, Nicolas, Jérémie, Olivier, Éric et Ludovic, vous me suivez à l'étage du dessus. Nicolas, tu dors ici et vous autres là.
Les garçons ne se posent pas de question sur ce que je leur demande de faire. Pourquoi je sépare le groupe sur deux étages ? Pourquoi je place d'office Nicolas tout seul ? Personne ne me le demande. À l'armée, on obéit sans poser de question. Je reconnais que c'est pour moi assez pratique.
J'installe mon monde, vérifie ici et là que tout se passe bien. J'interdis les batailles de polochons en laissant entendre que j'avais le droit de mettre quinze jours au gnouf tout contrevenant à mes ordres. Ça calme son monde. En général ils parlent entre eux, mais comme il n'y a strictement rien à faire et qu'ils n'ont aucune possibilité d'acheter d'alcool, ils finissent vite par s'endormir.
Je remonte dans ma chambre et trouve mes garçons en train de discuter sur leurs goûts musicaux. Je me joins à leur discussion.
Sensiblement, je les oriente sur eux, qui ils sont, ce qu'ils font. Jérémie, celui qui n'arrive pas à bander et qui est plutôt introverti est mitron dans une boulangerie industrielle. Olivier est pizzaïolo. Éric contrairement à Jérémie a le contact très facile, il est serveur dans un pub. Ludovic est boucher.
Tiens c'est marrant, vous faites tous des métiers de bouche ! Voilà qui nous rapproche. Tenez, je vais vous proposer justement de rapprocher les lits, ce sera plus sympa. Soulevez-les pour ne pas faire de bruit.
Le rapprochement des lits rend la situation plus intime. Nous sommes tous allongés les uns près des autres, les voix se font plus basses. On éteint les néons pour ne garder que l'ampoule nue de faible intensité qui se situe au-dessus de la porte.
Vous allez peut-être tous vous retrouver ensemble à la cantine d'un Général lors de votre service. Vous porterez l'uniforme comme moi. Je redresse mon bassin pour mettre en valeur l'ensemble du vêtement militaire et montre ostensiblement le beau ceinturon que m'a fourni la Défense Nationale.
Je ne m'attendais pas à un effet si rapide.
Qu'est-ce que ça vous fait de voir des bites toute la journée ? Me demande Olivier, le regard fixé sur mon bas ventre.
Bof, ça ou peigner la girafe. Mens-je effrontément. Ça me permet juste de voir que s'il n'y a pas un visage pareil, il n'y a aussi pas un sexe pareil. Tiens le tien est plutôt mat, fin et long avec une toison noire de jais puisque tu es de type méridional. Celui de Ludovic est plutôt laiteux, épais, solide, rond et avec des poils blonds.
Olivier se met à rire. Ludovic rougit à mort, mais ne dit rien.
Tu vas publier une thèse sur "Étude comparée d'un visage et de sa bite chez le jeune français au début du troisième millénaire", rigole Éric qui attend le bon moment pour se mettre à poil.
Au moins, j'aurais des choses à dire, dis-je, en le regardant droit dans les yeux. Il comprend mon signe. On va tous les deux s'attacher à persuader le petit groupe à se mettre à poil rapidement.
Tu nous as tous vu à poil. Et toi, en fonction de ton visage, peut-on essayer de deviner à quoi ressemble ta bite, dis Olivier qui est pourtant le seul ici à m'avoir vu à poil de très près.
L'affaire commence bien. Jérémie, l'introverti n'en perd pas un mot. Nous évitons de nous adresser à lui directement, il serait le plus facilement effarouchable, mais je sais qu'il suivra le groupe sans problème. Éric s'amuse visiblement. Ludovic ne manifeste aucune désapprobation.
Si ça t'amuse, mais même si elles sont toutes différentes, il y en a beaucoup qui n'ont rien de spécifique. La mienne fait partie de celles-là.
Bon, je dirais qu'elle est quand même plus grosse que la moyenne. Qu'elle est bien faite, droite, beau gland de la taille d'une cerise.
Olivier se laisse aller. Il ne cache pas une érection qui est vite remarquée par tous. La tension monte un peu plus. Mais c'est Éric qui en rajoute.
Puisque tu as vu la nôtre, dis-nous si la tienne est mieux.
Ce n'est pas à moi de le dire. Puisque tu es si malin, comparons les deux nôtres et désignons un jury. Puisque vous vous êtes déshabillés devant moi, je peux bien vous rendre la pareille.
OK, et bien le jury, ce sont les autres. Mettons-nous à poil.
Éric joue son rôle d'exhibitionniste. Ce dernier m'étonne par sa rapidité d'action, mais je ne m'en plains pas, d'autant que je sais que ma bite est un peu plus grosse que la sienne.
Éric a descendu son falzar d'un coup. Il se rapproche du cercle et nous montre un zob, on ne peut plus triomphant. Le jeu l'excite au plus au point, finalement beaucoup plus que moi qui connais très souvent ce genre de parties. La joie de le voir triompher me fait plaisir. Bien que je bande très fort, je voudrais bander un peu moins pour le laisser jubiler sur la valeur de son corps. De fait, mon sexe est sympa et m'obéit. Je bande aux trois quarts, laissant le pieu d'Éric se montrer dans toute sa gloire.
Alors ?
Ludovic est le premier interrogé.
Ouais, je ne sais pas.
Ludovic ne veut vexer personne, mais surtout il ne sait pas quoi dire. Il trouve le moyen d'échapper à la question.
Il me semble juste que j'ai l'impression que la mienne n'est pas mal du tout comparée aux vôtres, sourit-il.
Il n'en fallait pas plus pour qu'Olivier se mette à poil, rompant le concours dont l'intérêt était d'ailleurs assez mesuré.
Je vous bats tous, déclare-t-il en un grand sourire.
Battre en quoi ? Dit Ludovic en sortant directement de sa braguette un sexe au gland énorme qu'il enserre de sa main.
Les regards se portent tous sur lui avec une admiration non feinte. Tout le monde est à poil sauf Jérémie qui s'est fait discret depuis le début.
Tu peux te mettre à poil, pour ce que j'ai vu tu ne devrais pas avoir honte à montrer ton sexe, dis-je pour l'encourager.
Jérémie rougit d'être devenu le centre d'attention, mais il ne peut pas se défiler. Il baisse juste ce qu'il faut son pantalon, montrant un sexe paresseux. Je le prends dans la main, pour le faire bander. Jérémie a du mal à bander, j'évite de lui rappeler l'incident de cet après-midi pour ne pas lui faire honte. Sous ma main, son sexe grossit tout doucement. Ni lui, ni les autres ne sont gênés que je commence doucement à le masturber. Éric, lui, commence à s'astiquer le manche consciencieusement. C'est parti ! La soirée est réellement commencée.
Jérémie m'intéresse par sa timidité. J'ai envie de faire quelque chose pour lui. Je me mets face à lui et commence à me branler tout en continuant à le caresser. Il ne perd pas une miette de mes mouvements sur mon sexe. Je lui montre clairement mon gland lorsque je descends doucement ma main le long de ma hampe. Il a vraiment besoin de voir d'autres sexes. J'aimerais le sucer, mais il n'est pas prêt. Je m'allonge prenant soin de placer mon sexe le plus près possible de Jérémie. Il prend cela pour une invitation et pose sa main sur mon sexe pour le caresser très maladroitement. Ma bouche cherche la queue d'Éric. Et devant tout le monde médusé, je lui fais une fellation. Personne n'en revient, mais personne ne voudrait rater le spectacle.
Olivier se branle énergiquement. Ludovic s'y met. L'un et l'autre se regardent avec attention. Ça ne m'étonnerait pas que le Provençal et le Normand finissent leur nuit dans le même lit.
Éric ne tient plus, sort son sexe de ma bouche, et jouit à grands jets sous le regard de tous.
À qui est le lit que je viens de baptiser ? Demande-t-il.
Ce n'est pas la première fois qu'il serait baptisé, je réponds avec un clin d'œil. On est 5, il y a 6 lits, alors si vous voulez ne pas voir votre lit "baptisé", vous feriez mieux de jouir tous sur le même.
Ludovic au sexe laiteux et au gros gland suit Éric, jutant exactement au même endroit, mélangeant ainsi quelques gouttes de sperme. Olivier se penche à son tour pour être sûr de mêler son sperme à celui des autres.
Il ne manque plus que moi et Jérémie. J'ai une attirance sexuelle pour Jérémie. Je vais éteindre la lumière plongeant la chambrée dans un noir très relatif au grand mécontentement de tous. Mais chacun s'adapte, Olivier et Ludovic en profite pour se retirer ensemble et se câliner. Moi, j'entraîne Jérémie vers mon lit, laissant Éric se rebranler en regardant nos ombres chinoises s'agiter.
Jérémie ne dit rien, mais se laisse faire. Je mets son sexe dans ma bouche et je le pompe le plus délicatement possible. Il ne résiste pas et son sexe se met enfin à triompher. Il se détend, se rapproche de moi, caresse mes cheveux et commence à imprimer un mouvement de va et vient avec ses reins. Il est complètement décontracté et oublie que nous sommes dans une chambre à 5 personnes. Ma bouche quitte son sexe et remonte son corps jusqu'à son visage. Sa langue se tend vers la mienne. Nous nous embrassons avec force. J'ai gagné mon pari. J'ai décoincé Jérémie. Ce dernier jouira dans ma bouche dans un râle de réel plaisir. Nous restons enlacés et il s'endort comme un ange.
Pendant ce temps, Olivier et Ludovic s'agitent. Ils n'ont pas le sexe calme, mais qui peut leur en vouloir ? Quand deux jeunes étalons commencent à percevoir l'énergie qu'ils peuvent dégager, ils le font avec force.
Je m'éclipse, je n'oublie pas Nicolas à la bite monstrueuse qui est à côté, seul, et qui m'attend. J'ai réussi à ne pas jouir et personne ne s'en est rendu compte. Je veux conserver mes pulsions intactes pour Nicolas.
Ah c'est toi, j'allais m'endormir, me déclare-t-il d'une voix ensommeillée. Pourtant, il lève son drap pour m'accueillir comme il l'aurait fait à un ami de longue date. Je me couche auprès de lui et l'étreins avec passion. J'adore son petit cul tout blanc. Je sens sous mes doigts le duvet qui le recouvre. Mes mains lui massent le dos de plus en plus énergiquement, histoire de le réveiller complètement. Quelques petits soupirs me disent qu'il apprécie. Mes mains se font plus douces, plus baladeuses aussi. Elles descendent, flattent sa croupe, fendent l'entrefesses et mes doigts s'enfouissent vers le fondement. La peau de son anus est extrêmement douce. Mes doigts n'arrêtent pas de le chatouiller. Nicolas détend ses fesses me facilitant le travail. Je n'y tiens plus et je descends goûter ce frais bouton de rose. Je le titille en l'effleurant tout d'abord à peine, puis je plonge la pointe de ma
langue entre les plis le plus profondément possible. Une fois, deux fois, dix fois, je vais et je viens en prenant soin d'apporter la plus grande douceur à mes mouvements.
Mon sexe est humide, il réclame qu'on s'occupe de lui. Je commence à me branler. Il est tellement lubrifié et depuis si longtemps que mon prépuce glisse sans contrainte. Un rien me ferait jouir. Je me redresse pour mettre ma capote, mais Nicolas me retient et me la chipe. Je suis troublé, c'est la première fois que je vois quelqu'un voulant faire l'amour sans capote. Je suis très près de craquer et d'enfoncer mon sexe au naturel dans ce fondement que je trouve si propre. Cet instant de faiblesses peut me coûter la vie, mais ma raison a du mal à passer devant ma pulsion.
Nicolas résout le problème de la façon la plus étonnante, c'est lui qui enfile, avec difficulté, le préservatif. Il m'invite fermement à me retourner. Mon sexe plaqué sur le drap me fait mal, mon gland s'est décalotté tant il s'est lubrifié. Il mouille tout autour de lui tellement il est excité. Nicolas me relève le bassin et enfonce d'un coup d'un seul le pieu dans mon trou. Ahhhhouhhh ! Je hurle de douleur. Moi qui suis plutôt actif, je viens sacrément de me faire avoir. Je me retrouve dans une situation désagréable pour un Caporal : se faire enculer par un soldat. Certes je me fais bien sucer par un Général, mais je ne m'attendais pas à un renversement de situation pareil. La douleur est extrême et je dois avouer que je ne profite pas du plaisir de la situation, mais le frêle Nicolas si. Son pieu entre et sort à coups de butoir. Je me sens marteau piqué.
Nicolas s'agrippe avec force à mes épaules, n'écoutant pas mes hurlements étouffés. On entend Olivier et Ludovic s'agiter de l'autre côté du mur, je ne voudrais pas me faire trop remarquer. J'ai l'impression qu'on m'embroche, que le dard de Nicolas va me ressortir par la bouche. Je ferme les yeux de douleur, mon visage crispé me fait mal, tout mon corps est tendu par la douleur. Je transpire à grosses gouttes. J'ai l'impression de m'évanouir. J'entends un énorme soupir tandis qu'une vague de jouissance me parcoure l'échine. Je viens de passer au-delà de la douleur au moment où Nicolas ayant joui s'arrête.
Il se retire, et s'allonge près de moi encore plus en sueur que moi. Je suis incapable de réagir. J'attends que le temps passe en restant à l'écoute de mon corps. J'entends Nicolas s'endormir, sa respiration se fait sur rythme plus lent. De l'autre côté du mur aussi les bruits ont cessé. Je me lève chancelant, avance péniblement et retourne dans ma chambre. Je me couche auprès de Jérémie que je serre tendrement dans mes mains pour me réconforter. Il ne se réveille pas.

Bon les petits gars, ravi de vous avoir connus. Le supplice est terminé, vous êtes libre jusqu'à ce qu'on vous appelle sous les drapeaux. Vous pouvez rompre les rangs.
Chacun s'en va, certains sans rien dire, d'autres en me serrant la main, d'autres encore dont je connais par cœur le prénom me donnent de longues poignées de main me jurant qu'ils vont rester en contact avec moi et m'écrire longuement.
En les regardant s'éloigner, j'entends le vaguemestre crier. Philippe, c'est le courrier, tu as comme tous les jours une demi-douzaine de lettres, mais comment fais-tu ?

Pas mal chaude cette histoire. Qu'en penses-tu ? J'avoue franchement qu'elle m'a bien fait gicler.

Avis aux amateurs, je viens de mettre en ligne une page de contact pour les amis du blog. Si cela t'intéresse, il suffit de suivre ce lien.

Pipe de Pip et à la prochaine

Par Pip Moustache - Publié dans : Histoires
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